Vol Flash Airlines 604
Le Boeing 737-300 impliqué dans l'accident, ici à l'Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle en juin 2003
Le Boeing 737-300 impliqué dans l'accident, ici à l'Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle en juin 2003
Caractéristiques de l'accident
Date
TypePerte de contrôle après le décollage, collision avec la mer
CausesErreur du pilote, désorientation spatiale
SiteEn mer Rouge, au large du Sinaï, à Charm el-Cheikh
Coordonnées 27° 50′ nord, 34° 23′ est
Caractéristiques de l'appareil
Type d'appareilBoeing 737-308
CompagnieFlash Airlines
No  d'identificationSU-ZCF
Lieu d'origineAéroport international de Charm el-Cheikh, Égypte
Lieu de destinationAéroport de Paris-Charles-de-Gaulle, France
Passagers135
Équipage13
Morts148 (tous)
Survivants0

Géolocalisation sur la carte : Égypte
(Voir situation sur carte : Égypte)
Vol Flash Airlines 604

Le , le Boeing 737-300 effectuant le vol Flash Airlines 604 s'est écrasé dans la mer Rouge, au large de la station balnéaire de Charm el-Cheikh, en Égypte, peu après son décollage, ne laissant aucun survivant parmi les 135 passagers et les 13 membres d'équipage.

La plupart des passagers de ce vol charter, assuré par la compagnie charter privée égyptienne Flash Airlines, étaient des touristes français. Il devait relier Charm el-Cheikh à Paris-Charles-de-Gaulle, en France, avec une escale au Caire.

Les enquêtes du NTSB et du BEA ont conclu à une désorientation spatiale du commandant de bord, et que le copilote, moins expérimenté, n'aurait pas osé intervenir. Les autorités égyptiennes, quant à elles, soutiennent l'hypothèse d'une défaillance technique.

Ce crash a été le plus meurtrier survenu en Égypte, jusqu'à celui du vol Metrojet 9268 en 2015. C'est également le plus meurtrier impliquant un avion de type Boeing 737 Classic.

Protagonistes

L’équipage

Le commandant de bord du vol 604 est Khadr Abdullah (53 ans)[1]. Né le , il est formé en Union soviétique dans les années 1970. Pilote dans l’armée égyptienne, il vole surtout sur des Mig 21 (avions de chasse), puis sur des Hercules C-130 (avions de transport de troupes). Il se serait particulièrement illustré durant la guerre du Kippour (octobre 1973), sans que l’armée n’ait révélé le moindre détail à ce sujet. À la fin de sa carrière, il a le grade de général. Il passe les épreuves théoriques de pilote de ligne en 1984 en Égypte, le (Transport Pilot Egyptian Certificate Number 561). Il rentre à la compagnie Flash Airlines le . Il passe les épreuves pratiques en 2003, au Maroc, sur un simulateur de vol loué par Flash Airlines. L’entraînement sur simulateur a lieu entre le 28 avril et le . Le , il passe son Licence Proficiency Check pour Boeing 737-300/400/500, qu’il obtient. La compagnie le fait directement commandant, alors que sa faible expérience des Boeing 737 devrait lui valoir une nomination comme copilote afin de gagner en expérience. En effet, il n’a encore jamais volé sur un vrai Boeing 737. En juin 2003, il prend les commandes de l'avion pour la première fois. Quand l’avion s’écrase, il totalise 474 heures et 15 minutes de vol sur Boeing 737, ce qui est très peu.

Le copilote est Amr Al-Shaafei (25 ans)[2]. Né le , il réussit l’épreuve théorique pour piloter un Cessna le . Il obtient son Licence Proficiency Check le . Jeune et sans expérience, il avait pour avantage de ne pouvoir prétendre qu’à un salaire de pilote débutant. Il ne totalise au moment du crash que 788 heures et 53 minutes de vol, dont 242 heures et 28 minutes sur Boeing 737.

Ashraf Abdelhamid (42 ans), qui suivait une formation pour devenir copilote et avait de l'expérience dans le pilotage d'avions d'affaires, était également assis dans le cockpit avec le pilote et le copilote[3]. Selon le rapport factuel, il est présent dans l’avion afin de compléter son entraînement, pour être embauché par la compagnie aérienne. Bien qu'Égyptien, Abdelhamid détenait également les citoyennetés canadienne et américaine.

Les passagers

Ce sont 134 Français et une Marocaine ayant effectué un séjour touristique à Charm el-Cheikh. Leurs séjours ont été organisés par trois agences de voyages : FRAM, Jet Tours et ZigZag, qui ont fait appel à un intermédiaire pour affréter l'appareil, Air Masters. Selon les déclarations d’une porte-parole du ministère des Transports faites le , 80 % des passagers étaient des clients de FRAM[4]. Un quatrième voyagiste, Republic Tours, co-affrétait l'avion auprès de la société Air Master, mais ce voyagiste, faisant suite à de nombreuses réclamations de clients, avait dénoncé quelques semaines plus tôt son contrat.

La compagnie aérienne

Logo de la compagnie Flash Airlines

Flash Airlines est une compagnie égyptienne basée au Caire. Il s'agit d'une filiale de Flash Group, société égyptienne spécialisée dans le tourisme. Fondée en 2000, Flash Airlines connait de multiples problèmes de sécurité. En 2002, l'Office fédéral de l'aviation civile suisse interdit à la compagnie d'atterrir sur son sol, et l'office polonais d'aviation civile suspend sa licence jusqu'en juin 2003. Il n'est pas possible de connaître la santé économique de cette entreprise, la commission d'enquête égyptienne n'ayant pas réalisé d'investigations à ce sujet.

L’appareil accidenté

SU-ZCF, l'appareil impliqué dans l'accident, ici à l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle en décembre 2001

L’avion est un Boeing 737-308, immatriculé SU-ZCF et entré en fonction en 1992. La gamme des 737 est lancée à la fin des années 1960 afin de compléter celle des 707 et des 727. Les 737-300 comptent des rangs de 6 sièges, et sont légèrement plus longs que les 737-200 (33,4 mètres contre 30,53). L’appareil peut se poser sur de petites pistes, ce qui lui permet de pénétrer le marché africain, puis, plus tard, ceux d’Amérique centrale et du Sud. Le premier vol d’un 737-300 date du . Le 14 novembre de la même année, l’avion obtient sa certification. Il entre en service dès le . C’est le que le dernier appareil est livré. Les Boeing 737-300 sont équipés de moteurs CFM 56, issus de la collaboration de General Electric et de la Snecma dans le cadre de la société CFM. Celui qui a connu l’accident possédait des moteurs de type CFM 56 3C1, longs de 2,36 mètres. Le contrat de développement initial des CFM 56-3 date de mai 1981. Certifiés en janvier 1984, ils entrent au service en décembre de la même année (pour les 737-200). La production cesse en 1999[5].

Au cours de sa carrière, l’avion n’a eu qu’un seul propriétaire, ILFC, qui l’a loué à plusieurs compagnies. Durant la période où la compagnie aérienne Flash Airlines dispose de l’avion, celui-ci connaît plusieurs problèmes techniques :

Source principale sur la chronologie du SU-ZCF:Airfleets.net. Le site www.planespotters.com offre quelques différences dans sa chronologie.

Bilan

Le bilan s'établit à 148 morts, dont 135 passagers et 13 membres d'équipage[22]. Aucune personne présente à bord n'a survécu, et les restes de l’avion reposent au fond de la mer. Certains débris ont été repêchés.

Après la catastrophe

2004

Monument aux victimes de l'accident d'avion du golfe d'Aqaba

2005

2006

2007

2009

Sépulture au cimetière du Père-Lachaise.

Les causes

Causes possibles

Les causes de l’accident n’ont pas encore été clairement dégagées. Toutefois, plusieurs types de causes ont été envisagés :

Poursuites judiciaires

Cette section doit être actualisée. Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.

L’association des familles de victimes a engagé des poursuites judiciaires contre 6 sociétés: Flash Airlines; son assureur; Boeing, constructeur de l’avion; ILFC, propriétaire de l’appareil; Parker Hannifin qui a réalisé les dispositifs hydrauliques; et Honeywell qui a créé les dispositifs électroniques, et notamment le pilote automatique.

Le rapport factuel

Rendu public en novembre 2004, il est rédigé par une commission d’enquête égyptienne, notamment composée de Shaker Kelada et de Hassan Musharrafa. Ce rapport de 431 pages comporte de nombreux éléments techniques rassemblés après enquête, sur l’avion, sur Flash Airlines, et sur le vol. Toutefois, Christian Roger (Ancien Président du Syndicat National de Pilotes de lignes (Air France))[135] et Jean-Pierre Otelli remettent en cause le sérieux de cette enquête[136] :

Le rapport final

Présentation

Ce rapport donne les conclusions des investigations effectuées par les enquêteurs égyptiens. Le Sunday Times en date du indiquait que ce rapport ferait environ 1 000 pages[147].Le rapport final, tel qu’il est sorti, comporte 1 313 pages de données et d’analyses en anglais. Il se compose de 4 parties et d’une annexe. La première partie intitulée Factual information (777 pages) comprend des données factuelles, reprises pour partie du rapport factuel et de l’addendum au rapport factuel. La deuxième partie (386 pages), intitulée Analysis, constitue l’étude de ces données. Dans une troisième partie (9 pages), la commission d’enquête égyptienne fait part de ses conclusions, tandis que la quatrième (une page) énonce ses recommandations. À la fin du document se trouvent les annexes (140 pages), composées des commentaires effectués par les Américains (130 pages), le BEA (3 pages), la société Flash Airlines (6 pages) et l’ECAA (Egyptian Civil Aviation Authority) (une page).

Chronologie

Choix de la date de publication

Selon le site Eurocockpit.fr, la date de sortie du rapport aurait été choisie en fonction de celle de la réunion des directeurs des aviations civiles du monde entier au siège de l’OACI à Montréal, qui a eu lieu le [153].

Conclusions du rapport

Un éditorial d’Eurocockpit indiquait que le pilote serait montré du doigt par l’enquête[154]. Mais selon une dépêche de Reuters citant le responsable de l'enquête[155], ce rapport se contenterait de donner des pistes, sans s’engager. Un article de Libération daté du [156] ainsi que plusieurs dépêches[157] indiquaient cependant que l’enquête conclurait à une défaillance du pilote automatique et des systèmes de guidage.

Les spoilers sont les volets situés à l'arrière de l'aile levés vers le ciel.

Le rapport ne parvient pas à dégager de cause unique à la catastrophe. Il envisage toutefois quatre possibilités, toutes d’ordre technique, qui ont pu se combiner :

Cette interprétation des données se heurte à celle du NTSB et du BEA, qui privilégient l’erreur humaine. Selon leurs conclusions, l’appareil était pilotable tout au long du vol. Le BEA, dans ses conclusions, élimine la possibilité qu’un spoiler était la cause du crash, et met en exergue la responsabilité de l’équipage qui n’aurait pas su répondre à la situation d’urgence. Le BEA souligne également le manque de formation du pilote[158]. Le NTSB privilégie la thèse d’une désorientation spatiale du pilote[159].

Les responsabilités à caractère technique ont été recherchées, celles pouvant mettre en cause les voyagistes, dont FRAM principal affreteur, n'ont pas été étudiées malgré les nombreuses réclamations clients qui auraient dû les inciter à dénoncer leur contrat. La recherche de liens d'ordre économique ou d'intérêts de ces derniers avec la compagnie Flash Airlines, Air Master et les associés directs et indirects de ces deux sociétés qui ont leurs racines en Égypte pourrait mettre en évidence de nouvelles responsabilités. Quelques semaines après l'accident, le président de FRAM, M. Georges Colson, démissionnait et prenait la présidence du Syndicat national des agences de voyages (SNAV).

Protagonistes

Analyses, commentaires

L’avion

Rapports

Pages officielles

Droit

Bibliographie

Filmographie

Voir aussi

Sources

Concernant les dépêches utilisées, les heures indiquées sont celles de leur publication sur le site Yahoo.fr, horaire français.

  1. Rapport factuel, p. 14, Jean-Pierre Otelli 2006, p. 14-18.
  2. Rapport factuel, p. 15, Jean-Pierre Otelli 2006, p. 18-19.
  3. Rapport factuel, p. 15, Jean-Pierre Otelli 2006, p. 19.
  4. dépêche Reuters du 3 janvier 2004, 12 h 12.
  5. Source: http://www.cfm56.com/engines/cfm56-3/tech.html
  6. (Le Monde, 13 janvier 2004)
  7. Site internet de Flash Tour
  8. (Le Figaro, 4 septembre 2004)
  9. http://www.aviation.admin.ch/aktuell/medienmitteilungen/00645/index.html?lang=fr et chronologie établie par la Direction générale de l'Aviation civile française (DGAC) le 11 janvier 2004
  10. (Source : communiqué de la DGAC, chronologie établie par la DGAC le 11 janvier 2004 [1])
  11. http://www.aviation.admin.ch/aktuell/medienmitteilungen/00645/index.html?lang=fr et chronologie établie par la DGAC le 11 janvier 2004 [2]
  12. (Le Monde, 17 janvier 2004 ; Communiqué de Gilles de Robien du 19 janvier 2004)
  13. (Dépêche AFP du 4 janvier 2004, 16 h 31)
  14. Rapport factuel, p. 66-67 ; François Nérin, Henri Marnet-Cornus, Transport aérien, le dossier noir, Paris, Privé, 2006, p. 88-89.
  15. (Le Monde, 16 janvier 2004)
  16. (L’Humanité, 10 janvier 2004 [3]), Kataweb [4])
  17. Dépêche Reuters, 6 janvier 2004, 18 h 50 ; Journal Officiel de la République française, 7 janvier 2004, 112e séance, p. 5 [5]
  18. (Communiqué de Gilles de Robien du 19 janvier 2004)
  19. (Le Monde, 17 janvier 2004)
  20. Rapport factuel, p. 79 et p. 86.
  21. a et b (L’Humanité, 10 janvier 2004 [6])
  22. Rapport factuel, p. 11.
  23. a et b Dépêche AFP du 3 janvier 2004, 13 h 48
  24. Dépêche AP du 3 janvier 2004, 12 h 51 ; Dépêche AP du 3 janvier 2006, 13 h 42. Dépêche Reuters, 3 janvier 2006, 14 h 48
  25. dépêche Reuters du 3 janvier 2004, 16 h 49
  26. Dépêche AP du 3 janvier 2004, 18 h 40
  27. Dépêche AP, 3 janvier 2004, 23 h 38
  28. dépêche Reuters, 4 janvier 2004, 9 h 50
  29. Dépêche AP, 4 janvier 2006, 10 h 46
  30. Dépêche AP, 4 janvier 2006, 13 h 54
  31. Dépêche AP, 4 janvier 2004, 15 h 09
  32. Dépêche AP, 4 janvier 2004, 15 h 10 citant les propos de Georges Colson : « Ces appareils volaient sur l’Angleterre, l’Allemagne ou l’Italie, et je suis quelque peu surpris que chacun de ces pays ne se tiennent pas au courant d’une possibilité d’incompétence ou de problèmes techniques qui concerneraient une compagnie aérienne »
  33. a et b Dépêche AFP, 4 janvier 2004, 16 h 31
  34. Dépêche AFP, 4 janvier 2004, 17 h 45
  35. Dépêche Reuters, 4 janvier 2004, 20 h 18
  36. Dépêche AP, 4 janvier 2004, 21 h 54
  37. Dépêche AP, 5 janvier 2004, 8 h 57 ; dépêche Reuters, 5 janvier 2006, 8 h 46
  38. Dépêche AP, 5 janvier 2005, 9 h 59
  39. Dépêche Reuters, 5 janvier 2004, 10 h 39
  40. Dépêche AP, 5 janvier 2004, 10 h 38
  41. Dépêche AP, 5 janvier 2004, 11 h 38
  42. Dépêche AP, 5 janvier 2004, 12 h 14
  43. Dépêche AFP, 5 janvier 2004, 12 h 47
  44. Dépêche AFP, 13 h 21
  45. Dépêche AFP, 5 janvier 2004, 15 h 16 ; Dépêche AFP, 5 janvier 2004, 18 h 06 ; Dépêche Reuters, 5 janvier 2004, 19 h 43
  46. Dépêche AFP, 5 janvier, 16 h 33
  47. Dépêche AP, 5 janvier 2004, 18 h 19
  48. a et b Dépêche AP, 5 janvier 2004, 19 h 19
  49. Dépêche Reuters, 5 janvier 2004, 19 h 43
  50. (conférence de presse de la DGAC à Paris, voir Dépêche AP, 5 janvier 2004, 20 h 03)
  51. dépêche Reuters, 5 janvier 2004, 20 h 19 ; Dépêche Reuters, 5 janvier 2004, 21 h 01
  52. Dépêche AP, 5 janvier 2004, 20 h 36
  53. Dépêche AP, 5 janvier 2004, 21 h 21 ; Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, BEA, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, 2004, p. 36
  54. Dépêche Reuters, 6 janvier 2004, 10 h 06
  55. Dépêche Reuters, 6 janvier 2004, 10 h 57
  56. Dépêche AP, 6 janvier 2004, 15 h 12
  57. Pour les propos de Moubarak et l’envoi d’enquêteurs voir Dépêche AP, 6 janvier 2004, 17 h 59
  58. Dépêche AP, 6 janvier 2004, 17 h 59
  59. Dépêche Reuters, 6 janvier 2004, 18 h 50 ; Journal Officiel de la République française, 7 janvier 2004, 112e séance, p. 5 [7] : « Nous avons appris ce matin, par l’aviation civile allemande, que l’Allemagne a effectué une évaluation globale approfondie de la sécurité, fin septembre 2003 et au tout début d’octobre 2003. Ce contrôle s’est révélé, lui aussi, satisfaisant. »
  60. Dépêche AP, 6 janvier 2004, 19 h 25
  61. Dépêche AP, 6 janvier 2004, 20 h 04
  62. Dépêche AFP, 7 janvier 2004, 8 h 13
  63. Dépêche AP, 7 janvier 2004, 11 h 39 ; Dépêche AP, 7 janvier 2004, 11 h 43 ; Dépêche AP, 7 janvier 2004, 12 h 57 ; dépêche Reuters, 7 janvier 2004, 13 h 24
  64. Dépêche AP, 7 janvier 2004, 12 h 03
  65. Baubet T, Coq JM, Ponsetti-Gaillochon A, Vitry M, Navarre C, Cremniter D. Intervention médico-psychologique à Charm-el-Cheikh auprès des familles des victimes du crash aérien de la Flash Airlines. La Presse Médicale 2006 ; 35(2) : 250-1. Abstract
  66. Dépêche AFP, 7 janvier 2004, 12 h 55 ; Dépêche AP, 7 janvier 2004, 15 h 21
  67. Dépêche AP, 7 janvier 2004, 19 h 51
  68. Dépêche AP, 7 janvier, 20 h 05
  69. Dépêche AFP, 8 janvier 2004, 9 h 48
  70. Dépêche AFP, 8 janvier 2004, 12 h 45 ; Dépêche AP, 8 janvier 2004, 13 h 32
  71. Dépêche AP, 9 janvier 2004, 10 h 32
  72. Dépêche AFP, 9 janvier 2004, 14 h 37
  73. Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, BEA, 2004, p. 37.
  74. Dépêche AP, 9 janvier 2004, 18 h 11
  75. Dépêche AP, 9 janvier 2004, 18 h 39
  76. Dépêche AP, 10 janvier 2004, 17 h 25
  77. Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, BEA, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, 2004, p. 37.
  78. Dépêche AP, 12 janvier 2004, 17 h 50
  79. Dépêche Reuters, 12 janvier 2004, 19 h 03
  80. Dépêche Reuters, 13 janvier 2004, 11 h 39
  81. Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, BEA, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, 2004, p. 38 ; dépêche AFP, 13 janvier 2004, 12 h 16 ; dépêche Reuters, 13 janvier 2004, 12 h 35.
  82. Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, BEA, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, 2004, p. 38.
  83. Dépêche AFP, 14 janvier 2004, 10 h 45 ; dépêche AFP, 14 janvier 2004, 16 h 44 ; Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, BEA, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, 2004, p. 39.
  84. Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, BEA, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, 2004, p. 40 ; dépêche AP, 15 janvier 2004, 15 h 08 ; Dépêche AFP, 15 janvier 2004, 15 h 19.
  85. Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, BEA, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, 2004, p. 41.
  86. Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, BEA, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, 2004, p. 38, p. 42 ; dépêche AFP, 17 janvier 2004, 9 h ; dépêche AFP, 16 h 59.
  87. Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, BEA, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, 2004, p. 44.
  88. Dépêche AFP, 19 janvier 2004, 8 h.
  89. Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, BEA, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, 2004, p. 45.
  90. Dépêche AFP, 20 janvier 2004, 14 h 36 ; dépêche AFP, 20 janvier, 17 h 16 ; dépêche AP, 20 janvier 2004, 19 h 13 ; dépêche Reuters, 20 janvier 2004, 20 h 24 ; Ministère de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, Opérations de recherches en mer, BEA, Accident survenu le 3 janvier 2004 au large de Charm el-Cheikh (Égypte) au Boeing 737-300 immatriculé SU-ZCF exploité par Flash Airlines, 2004, p. 46.
  91. Dépêche AP, 21 janvier 2004, 15 h 47.
  92. Dépêche AP, 28 janvier 2004, 1 h 41.
  93. Dépêche AFP, 28 janvier 2004, 17 h 06 ; dépêche AP, 28 janvier, 17 h 18.
  94. EuroCockpit
  95. Dépêche AP, 31 janvier 2004, 19 h 25 ; Dépêche AP, 31 janvier 2004, 20 h 19
  96. Dépêche AP, 4 février 2004, 17 h 26.
  97. Dépêche AFP, 6 février 2004, 9 h 28.
  98. EuroCockpit
  99. Le Figaro, 4 mars 2004 [8].
  100. EuroCockpit
  101. Tourismexpress, 26 avril 2004.
  102. EuroCockpit
  103. L’Express, 29 mai 2004
  104. a et b [VOL-FSH604.com ]
  105. Dernières Nouvelles d’Alsace, 31 mai 2004
  106. Le Droit de savoir, TF1, 15 juin 2004 ; Critique de l’émission par Eurocockpit
  107. a et b Dépêche AP, 26 juin 2004
  108. Le Figaro, 26 juin 2004.
  109. Paris Match, 1er juillet 2004 [9]
  110. a et b EuroCockpit
  111. Le Figaro, 4 septembre 2004
  112. Le Parisien, 11 septembre 2004.
  113. Dépêche AFP, 13 septembre 2004
  114. Le Figaro, 28 septembre 2004
  115. dépêche AP, 28 septembre 2004 [10].
  116. Eurockpit, 4 novembre 2004 [11].
  117. Eurocockpit, 12 novembre 2004
  118. Le Bien public, 14 novembre 2004, Eurocockpit, 13 décembre 2004 [12].
  119. « Les proches des disparus de Charm el-Cheikh se recueillent », sur Le Monde.fr (consulté le )
  120. Eurocockpit, 19 janvier 2004 [13].
  121. Voir ainsi http://www.francesurf.net/collectif-fsh-604/default.asp?page=rapatriement
  122. Le Figaro, 27 mars 2006.
  123. Le Figaro, 25 mars 2006. Voir aussi France 3 Bourgogne-Franche-Comté:http://bourgogne-franche-comte.france3.fr/info/5995400-fr.php?page=1
  124. dépêche Reuters, 20 avril 2006, 14 h 31.
  125. Interview de Marc Chernet, président de l'association des familles de victimes du crash dans: Libération, 29 mai 2006
  126. Libération, 29 mai 2006.
  127. Dépêche de Liberation.fr du 27 juin 2006 à 12 h 29
  128. Sources: http://www.rfi.fr/francais/actu/evenements/agendas/ref/agenda_229814.asp ; http://clubobs.nouvelobs.com/article/2007/01/02/20070102.FAP4808.xml ; https://fr.news.yahoo.com/02012007/5/inauguration-paris-d-un-memorial-des-victimes-du-crash-de.html ; http://www.jac.cerdacc.uha.fr/internet/Recherche/Jcerdacc.nsf/91fe2b771e4d47c1c12570bc004f07f3/ca82ba0e4ef5ee51c125723b0033e1fd?OpenDocument ; http://paris-ile-de-france-centre.france3.fr/info/27165884-fr.php
  129. Rapport de l’association ; L'Express, 1er juin 2007
  130. http://www.leparisien.fr/faits-divers/crash-de-charm-el-cheikh-les-competences-des-pilotes-mises-en-cause-21-07-2009-586076.php article du Parisien
  131. {http://www.jac.cerdacc.uha.fr/internet/recherche/Jcerdacc.nsf/91fe2b771e4d47c1c12570bc004f07f3/cffc25f1a83c827cc125767f004b5b41?OpenDocument Journal des accidents et des catastrophes, décembre 2009
  132. (http://www.eurocockpit.com/archives/indiv/E004955.php Article d’Eurocockpit)
  133. Collectif d'aide et d'informations - Catastrophe aérienne de Charm el Cheikh
  134. http://blog.pascalolivier.fr/post/2014/04/09/Voile-islamique-%3A-le-périple-égyptien-de-Sarkozy-à-l’origine-du-crash-du-vol-605
  135. a et b (Christian Roger, rapport final sur l’accident, Information no 8, p. 7 « http://www.nuisances-aeriennes.com/Charmelsheik_conclusions.pdf »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?))
  136. Jean-Pierre Otelli 2006, p. 17-85.
  137. (Rapport factuel, p. 17)
  138. (ce qui est faux, Rapport factuel p. 320)
  139. a et b (Christian Roger, rapport final sur l’accident, Information no 8, p. 4)
  140. (Rapport factuel, p. 321, 02 h 13:53 GMT)
  141. (Rapport factuel, p. 322, 02 h 15.21)
  142. Jean-Pierre Otelli 2006, p. 32
  143. Jean-Pierre Otelli 2006, p. 59-62
  144. Rapport factuel p. 351
  145. (Christian Roger, rapport final sur l’accident, Information no 8, p. 8 « http://www.nuisances-aeriennes.com/Charmelsheik_conclusions.pdf »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?))
  146. Jean-Pierre Otelli 2006, p. 80; Repris dans un article de Tourmag)
  147. (Selon le Sunday Times du 27 octobre 2005 [14]).
  148. Jean-Pierre Otelli 2006, p. 75
  149. ([15] [16][17] [18])
  150. Précisions apportées sur un site de familles de victimes
  151. Voir : http://www.bea-fr.org/francais/actualite/actu.htm
  152. http://www.aujourdhui.ma/international-depeche43946.html
  153. (http://www.eurocockpit.com/archives/indiv/E006951.php Site eurocockpit.fr, 12 mars 2006 à 14 h 06)
  154. ([19])
  155. ([20])
  156. (Libération, 17 octobre 2005.)
  157. ([21] [22])
  158. Rapport final, remarques du BEA en annexe, p. 3.
  159. Rapport final, remarques du NTSB en annexe, p. 38.
  160. Blog Tarnsport aérien, le dossier noir, 31 décembre 2009