L'arabe et le français sont les deux langues officielles.
L'afar et le somali sont les deux « langues nationales ». Le somali et l'afar en ville de Djibouti, sont les principales autres langues de la vie quotidienne. Mais on parle aussi l'arabe sud-yéménite, l'arabe omani, le grec, le hindi…
En 2016, le classement mondial sur la liberté de la presse établi chaque année par Reporters sans frontières situe Djibouti au 172e rang sur 180 pays[5]. La loi sur la Liberté de la communication constitue en elle-même une entrave à la liberté d'expression et au pluralisme médiatique. Les journalistes sont soumis à un important arsenal répressif[6].
Abdourahman Yacin Ahmed, «Djibouti au centre du discours littéraire», in Amina Saïd Chire (did.), Djibouti contemporain, Paris, Karthala, 2013, p. 317-348
Christian d'Alayer, Djibouti aujourd'hui, Les Éditions du Jaguar, Paris, 2003, 237 p. (ISBN2-86950-361-X)
Colette Dubois, Djibouti au regard de ses timbres-poste, 1893-1977 : images d'altérité, images de propagande, ARESAE, Paris, 1998, 47 p. (texte de la conférence prononcée à l'INALCO le )
Colette Dubois et Pierre Soumille, Des chrétiens à Djibouti en terre d'islam : (XIXe – XXe siècles), Karthala, Paris, 2004, 373 p. (ISBN2-8458-6491-4)
Mohamed Houmed Hassan, « Émergence et évolution d’une culture populaire urbaine à Djibouti », in Amina Saïd Chire (did.), Djibouti contemporain, Paris, Karthala, 2013, p. 293-316
Bruno Maurer, Le français et les langues nationales à Djibouti : aspects linguistiques et sociolinguistiques, thèse de Sciences du langage, université Montpellier 3, 1993