Leonor Fini
Leonor Fini photographiée par Carl Van Vechten en 1936.
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière de Saint-Dyé-sur-Loire (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Eleonor Fini
Nationalités
Activités
Représentée par
Artists Rights Society, Didier Ltd (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Lieux de travail
Mouvement
Site web

Leonor Fini, pseudonyme d’Eleonor Fini, née à Buenos Aires le et morte à Aubervilliers le , est une peintre surréaliste, graveuse, lithographe, décoratrice de théâtre et écrivaine française d'origine italienne.

Biographie

[modifier | modifier le code]

Enfance austro-hongroise et jeunesse italienne

[modifier | modifier le code]

Eleonor Fini naît du mariage d'Herminio Fini, riche homme d'affaires argentin et de Malvina Braun, native de Trieste. La mésentente conjugale fait que, dix-huit mois après la naissance de l'enfant, sa mère Malvina, fuyant la vaste demeure de Buenos Aires, située sur une île dont Herminio Fini est propriétaire et emmenant sa fille, revient à Trieste, alors toujours située dans l'Empire austro-hongrois (la ville deviendra italienne en 1921)[1]. Eleonor Fini — les siens l'appellent « Lolò » — passe de la sorte son enfance (les tentatives de kidnappings répétées sans succès par son père afin de la ramener en Argentine contraignent à ce qu'on la travestisse en garçon pendant des années) et son adolescence auprès de sa mère et de sa famille maternelle.

Dans un milieu bourgeois très cultivé, elle est « enfant chouchoutée, mais impossible, renvoyée des écoles et se nourrissant des trésors de la bibliothèque familiale »[2] : son oncle Ernest Braun, restitue Valentina Zacca, « peut être considéré comme le pygmalion de son éducation artistique. Homme de grande culture, il détient un nombre de livres tellement grand qu'il construit dans sa maison une vraie bibliothèque où Eleonor goûte la philosophie du déguisement et l'ivresse du devenir et de l'apparence prêchée par Friedrich Nietzsche »[3].

Umberto Saba.

Les influences viennoises et italiennes se télescopent à Trieste et elle acquiert de la sorte une culture cosmopolite, baigne dans les cercles littéraires et intellectuels d'avant-garde propres à la ville et empreints de la pensée de Sigmund Freud, fréquente ainsi Gillo Dorfles, Umberto Saba, Italo Svevo et Roberto Bazlen[4],[5], s'intéressant également aux « visions écorchées de Max Klinger ou de Gustav Klimt »[2]. Rejetant les études juridiques auxquelles sa famille la destinait, elle commence à peindre à l'âge de quinze ans, suit également pendant une courte période des cours d'art dramatique.

C'est dans son enfance[6],[7] que Leonor Fini puise les racines de sa personnalité en évoquant elle-même : « encore enfant, d'un jour à l'autre, j'ai découvert l'attrait des masques et des costumes. Se costumer, c'est l'instrument pour avoir la sensation d'un changement de dimension, d'espèce, d'espace. Se costumer, se travestir est un acte de créativité. Et cela s'applique à soi-même qui devient d'autres personnages ou son propre personnage. Il s'agit de s'inventer, d'être mué, d'être apparemment aussi changeant et multiple qu'on peut se sentir à l'intérieur de soi. C'est l'extériorisation en excès de fantasmes qu'on porte en soi, c'est une expression créatrice à l'état brut »[8].

La Chevauchée des Amazones, mosaïque d'Achille Funi et Leonor Fini.

Généralement dite autodidacte, Nadia Pastorcich la restitue cependant comme introduite fort jeune dans le monde des artistes de Trieste, la disant élève d'Edmondo Passauro (1893-1969) et citant parmi ses tout premiers tableaux ses portraits des peintres Carlo Sbisà (1899-1964) et Arturo Nathan (it) (1891-1944)[9].

Elle quitte sa famille à 17 ans pour s'installer à Milan où se tient sa première exposition personnelle en 1929, révélant une peinture « s'astreignant à la discipline austère de l'art gothique et de la Renaissance italienne »[10], s'orientant ainsi vers le classicisme et la peinture tonale, à l'exemple de Carlo Carrà. Elle travaille avec Achille Funi à la mosaïque La Chevauchée des Amazones qui sera présentée en 1933 à la 5e Triennale se tenant au palazzo dell'Arte de Milan[11].

À la rencontre des surréalistes

[modifier | modifier le code]
Filippo De Pisis.

Pour rejoindre le prince Lorenzo Lanza del Vasto, frère de Giuseppe (auteur du Pèlerinage aux sources), rencontré à Milan et dont elle est tombée amoureuse, Leonor Fini quitte en 1931 l'Italie pour Paris par le même train que Filippo De Pisis qui va l'introduire dans les salons de Robert de Montesquiou et d'Anna de Noailles et la mettre en relations avec Jules Supervielle, Giorgio de Chirico, Max Jacob, André Breton et les surréalistes[12]. Elle ne partage que brièvement la vie de Lorenzo Lanza del Vasto, s'en séparant au printemps 1932 pour André Pieyre de Mandiargues chez qui elle s'installe, dans un premier temps au 37, boulevard Saint-Germain où vit également Henri Cartier-Bresson, ami d'enfance de Mandiargues. Tous les trois visitent l'Italie du Nord lors de l'été 1932 et en 1933[13] : elle pose pour le Nu dont on ne voit pas le visage, photographié dans la mer par Cartier-Bresson en 1932, tandis que sur une autre photographie de Cartier-Bresson, en 1933, André Pieyre de Mandiargues, de dos, semble s'accoupler avec elle — dont on ne voit toujours pas le visage — dans la Méditerranée[14],[15].

L'hôtel de Marle, rue Payenne à Paris, où Leonor Fini s'installe en 1935.

La première exposition personnelle à Paris de Leonor Fini se tient en novembre- à la galerie Bonjean qu'à Paris dirige Christian Dior, l'œuvre maîtresse y étant Le Travesti à l'oiseau, portrait d'André Pieyre de Mandiargues avec qui, en 1935, elle s'installe à l'hôtel de Marle situé au 11, rue Payenne[13]. Il fait une rencontre éphémère à Paris avec l'artiste italien[16] Fabrizio Clerici, à la fin des années 1930, rue de la Boétie, 34 à la galerie Jacques Bonjean, fondée par leur ami commun Christian Dior. Bonjean, fondée par leur ami commun Christian Dior. Dior avait été Dior avait été présenté à Clerici par le collectionneur Jacques-Paul Bonjean, qui l'avait également présenté à Fini. Le collectionneur Jacques-Paul Bonjean l'a également présenté à Fini ; avec elle, ils se sont retrouvés à Milan puis à Rome.

S'inspirant des théories surréalistes, elle expérimente les « dessins automatiques et métamorphiques ». Elle se lie d'amitié avec Georges Bataille, Victor Brauner, Man Ray, Paul Éluard et Max Ernst — avec qui elle connaît une liaison amoureuse[17] — sans jamais intégrer le groupe, n'ayant aucun goût, selon elle, pour les réunions ni les manifestes, ce qui lui vaut l'inimitié d'André Breton[18]. Si elle expose ces dessins avec les surréalistes à la galerie Les Quatre chemins à Paris et aux New Burlington Galleries à Londres, elle va explorer en solitaire un univers onirique mettant en scène des personnages aux yeux clos — des femmes le plus souvent — ou des jeunes gens androgynes, alanguis face à des sphinges protectrices, évoluant ou rêvant dans un climat de fête cérémonielle où l'érotisme flirte avec la cruauté[19]. Chez elle, la femme est sorcière ou prêtresse, belle et souveraine.

Les années de guerre

[modifier | modifier le code]
Leonor Fini en 1936.

La première exposition américaine personnelle de Leonor Fini a lieu en février-mars 1939 dans la même Julien Levy Gallery de New York qui, en 1936 lors du premier voyage de l'artiste aux États-Unis, l'accueillait pour une exposition partagée avec Max Ernst[20].

La Seconde Guerre mondiale la fait s'éloigner de Paris : elle passe une partie de l'été 1939 avec Max Ernst et Leonora Carrington dans leur maison de Saint-Martin-d'Ardèche, vit ensuite quelques mois à Arcachon avec André Pieyre de Mandiargues. Ils y côtoient Salvador Dalí et son épouse Gala, puis elle s'établit à Monte-Carlo en 1940, commençant à y peindre les portraits qui vont pendant plus de vingt ans constituer une part importante de son œuvre, avec ceux notamment de Jacques Audiberti, Jean Genet, Anna Magnani, Valentina Cortese, Enrico Colombotto Rosso (it), Mona von Bismarck, Maria Félix, Maria Casarès, Suzanne Flon, Alida Valli, Margot Fonteyn, Silvia Monfort, Meret Oppenheim, Eddy Brofferio, Jean Schlumberger, Marcel Jouhandeau, Jacques Dufilho, Roger Peyrefitte, Hector Bianciotti, Klaus Mann, Alberto Moravia, Luchino Visconti[18]. Sur une piste de danse de Monte-Carlo, elle fait la connaissance du diplomate italien Stanislao Lepri (1905-1980) qui devient immédiatement son compagnon, qu'elle peindra et avec qui elle part s'installer à Rome[21], s'y insérant dans l'entourage d'Elsa Morante, Alberto Moravia, Federico Fellini et l'assistant de ce dernier, Pier Paolo Pasolini.

Les premières contributions bibliophiliques de Leonor Fini datent de cette période monégasque et romaine, de même que ses toutes premières créations de décors et de costumes sont destinées à quatre pièces produites au Teatro Quirino de Rome. Elle ne cessera d'explorer ces deux univers que sont l'estampe d'une part, le théâtre, le ballet et l'opéra d'autre part, après la Libération et son retour à Paris.

L'ascension

[modifier | modifier le code]

De nombreux poètes, écrivains, peintres et critiques vont lui consacrer des monographies, essais, préfaces d'expositions ou poèmes dont Jean Cocteau, Giorgio De Chirico, Paul Eluard, Max Ernst, Alberto Moravia… Quoique de façon parfois critique, des écrivains ou des peintres comme Ivan Chtcheglov, Roger Langlais ou Jacques Moreau dit Le Maréchal s'intéressent à certaines de ses œuvres, notamment ses paysages fantastiques. Stanislao Lepri, qu'elle encourage à peindre, la rejoint à Paris en 1950. Roger Peyrefitte restitue sa rencontre en 1951 avec l'écrivain polonais Constantin Jelenski en se revendiquant comme en étant à l'origine : « c'est moi qui ai été, sans le vouloir, l'artisan de cette rencontre. J'avais connu ce garçon à Rome puis, toujours à Rome, je l'ai présenté à Leonor et les voilà unis pour la vie »[22].

Leonor Fini séjourne souvent retirée du monde, mais non sans festivités : les grands bals costumés des années 1946-1953, où ses apparitions « en hibou royal, en félin gris ou en reine des enfers » sont spectaculaires, font d'elles une personnalité médiatique, lui valant entre autres en la couverture du magazine américain This Week où elle est photographiée portant un masque de hibou[17]. On relève son nom le , à côté de ceux de Jean Cocteau, Christian Dior, Orson Welles, Salvador et Gala Dalí, Barbara Hutton, Alexis de Redé, de l'Aga Khan et du marquis de Cuevas, parmi les 1 500 invités de Charles de Beistegui au mythique « Bal du siècle » du palais Labia de Venise[23]. Elle s'en explique : « se costumer, se travestir est un acte de créativité. Et cela s'applique à soi-même qui devient d'autres personnages ou son propre personnage. Il s'agit de s'inventer, d'être mué, d'être apparemment aussi changeant et multiple qu'on peut se sentir à l'intérieur de soi. C'est l'extériorisation en excès de fantasmes qu'on porte en soi, c'est une expression créatrice à l'état brut »[24].

Elle se réfugie cependant dans ses maisons de Seine-et-Marne, de Corse, au couvent Saint-François près de Nonza qu'elle découvrira en 1956, où elle s'installe et où elle revient ensuite peindre chaque été[25]), du Loir-et-Cher (la propriété de Saint-Dyé-sur-Loire dont elle fera l'acquisition en 1972), étant également reçue chez Lise Deharme à Montfort-en-Chalosse.

Au couvent San Francescu, elle appréciait ce lieu éloigné de tout, en proie aux tempêtes, sans électricité ni eau courante. L'artiste invitait des amis italiens et français pour des fêtes et célébrations morbides. En effet, elle se réservait le droit de poser nue sur les autels ou encore entourée de crânes humains récupérés dans les sépultures[26].

S'installant au 8, rue La Vrillière en 1960[27], elle partagera sa vie et son atelier avec Stanis1lao Lepri et Constantin Jelenski, dans une relation à trois qui demeurera toute leur vie durant.

Leonor Fini peint alors beaucoup, une large part de chacune de ses journées la trouvant devant son chevalet, pour paradoxalement ne présenter chaque année au public qu'un très petit nombre de toiles, en même temps qu'elle s'investit fortement dans la bibliophilie par la gravure et la lithographie. De 1950 à 1995, on segmente sa création picturale en différents thèmes ou périodes : Les gardiennes et L'époque minérale (1950-1960), Les grands chapeaux de clarté, Les trains, Les belles dames sans merci (1960-1970), Les jeux de vertige et Les cérémonies (1970-1980), la période dite « nocturne », Les fables, Les passagers et Les somnambules (1980-1995)[18]. Mais elle voue également une adoration aux chats et ce n'est pas sans lyrisme qu'elle se confie sur leur présence permanente dans sa vie : « comme ces statues baroques qui représentent le fleuve égyptien envahi de putti, ses confluents, j'ai le privilège, dès que je m'allonge, de devenir le Nil des chats »[28]. Elle exécute ainsi de nombreux tableaux, dessins, aquarelles et estampes en hommage aux chats, publiant même en 1977 un livre entièrement consacré à sa passion pour les félidés, Miroir des chats, où elle confirme : « je peins les visages des chats comme ceux des humains, sans les ennuyer en les faisant poser. Et ce sont eux ma forme préférée »[29],[30],[31].

Jacques Busse et Christophe Dorny, analysant l'ensemble de l'œuvre, voient à le rattacher incontestablement et intégralement au surréalisme, à l'encontre du désaveu de celui-ci par l'artiste : « quoi ou qui qu'elle peigne, c'est toujours le reflet du plus profond d'elle-même qu'elle y guette, avide et anxieuse de cette interrogation du miroir qui la traque quand elle croit le fuir », Leonor Fini elle-même confiant pour sa part que « l'important, c'est la perte de conscience, le naufrage heureux de soi. Le va-et-vient d'une balançoire commence par l'euphorie et le rire pour devenir absence et vertige, d'où la difficulté de l'arrêter : l'attraction du vide »[32]. Dans ses dernières années, elle est restée très proche de ses amis artistes ; l'un de ceux qui sont restés proches d'elle à partir de 1979 est l'artiste italien[33] Eros Renzetti, qui la fréquentait assidûment avec Fabrizio Clerici.

Leonor Fini meurt le dans un hôpital de la banlieue parisienne[34],[35], sans jamais avoir cessé de peindre et d'écrire[20], faisant la demande ultime à ses héritiers de ne vendre son appartement qu'après la mort du dernier de ses 17 chats : « après elle, ils coulèrent une existence paisible dans le décor où ils avaient été heureux en compagnie de celle qui sut si bien les immortaliser »[36]. Dans son article nécrologique, The Times évoque alors « sa beauté physique, son art érotique et ses légions d’amoureux dont les noms se lisent comme un appel des talents littéraires et artistiques de cette brillante époque »[37]. Elle repose avec Stanislao Lepri et Constantin Jelenski au cimetière de Saint-Dyé-sur-Loire[38].

Postérité

[modifier | modifier le code]

Saisies par les grands photographes, de Henri Cartier-Bresson à Cecil Beaton, les images qui demeurent de l'artiste la restituent, dans son quotidien, perpétuellement costumée, déguisée. On lit sous sa plume : « on me dit : vous auriez dû être actrice. Non. Pour moi, seule l'inévitable théâtralité de la vie m'intéresse »[24]. Pour Valentine Vacca, « le seul et unique intérêt de Leonor Fini fut donc la théâtralité de la vie, réputée selon elle inévitable et pour ce motif orchestrée dans le cours de sa continue spectacularisation du soi »[3].

« Mutante, elle aura joué avec les genres, du féminin au masculin, de la femme au félin, de l'humain au végétal. Autant de marques distinctives qui ont donné l'adjectif de finien »[39].

Un catalogue raisonné des oeuvres de l'artiste est en cours de création par Richard Overstreet

Depuis quelques années a lieu la redécouverte progressive de l'oeuvre de Leonor Fini. De ce fait, les dessins et toiles de l'artistes connaissent un vif succès aux ventes aux enchères. Son huile sur toile, Autoportrait au scorpion, daté de 1938 a été adjugé en 2021 à 980 000 $, pour une estimation fixée entre 400 000 et 600 000 $. Ainsi, l'artiste suscite l'intérêt de tous, collectionneurs et institutions culturelles[40].

Œuvres

[modifier | modifier le code]

Peinture

[modifier | modifier le code]

Mobilier

[modifier | modifier le code]

Vitrail

[modifier | modifier le code]

Contributions bibliophiliques

[modifier | modifier le code]

Décor et costume de scène

[modifier | modifier le code]

Costume pour le cinéma

[modifier | modifier le code]

Décor de téléfilm

[modifier | modifier le code]

Design et art graphique

[modifier | modifier le code]

Publications (avec ou sans illustrations de l'artiste)

[modifier | modifier le code]

Correspondance

[modifier | modifier le code]

Expositions

[modifier | modifier le code]

Expositions personnelles

[modifier | modifier le code]

Expositions collectives

[modifier | modifier le code]

Réception critique et témoignages

[modifier | modifier le code]
Jean Cocteau.
Roger Peyrefitte.

Distinctions

[modifier | modifier le code]

Hommages

[modifier | modifier le code]

Voirie

[modifier | modifier le code]
Jardin de l'Hôtel-Salé - Léonor-Fini à Paris.

Haute couture

[modifier | modifier le code]

Musique de chambre

[modifier | modifier le code]

Numismatique

[modifier | modifier le code]

Iconographie

[modifier | modifier le code]

Collections publiques

[modifier | modifier le code]

Drapeau de la Belgique Belgique

[modifier | modifier le code]

Drapeau du Canada Canada

[modifier | modifier le code]

États-Unis

[modifier | modifier le code]

France

[modifier | modifier le code]

Italie

[modifier | modifier le code]

Drapeau du Japon Japon

[modifier | modifier le code]

Drapeau de la Pologne Pologne

[modifier | modifier le code]

Royaume-Uni

[modifier | modifier le code]

Drapeau de la Suisse Suisse

[modifier | modifier le code]

Collections particulières

[modifier | modifier le code]
West Dean House (en).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Femmes peintres, Leonor Fini.
  2. a b et c Philippe Mathonnet, « Leonor Fini entre grâce et profondeurs », Le Temps, 24 avril 2001.
  3. a et b (it) Valentina Vacca, L'arte del tra(s)vestire in Leonor Fini. Un percorso nella costumica scenica tra Roma e Parigi, Université Paris-Ouest La Défense, 22 avril 2015.
  4. (en) Valentina Vacca, « Leonor Fini: a unique case of well-rounded artist », Interdisciplinary Italy, 17 novembre 2016.
  5. a b et c (it) Instituto italiano di cultura, Bruxelles, Leonor Fini - Memorie Triestine, novembre 2017.
  6. Enfance dont des documents photographiques seront présentés lors de l'exposition Leonor Fini, l'Italienne de Paris au musée Revoltella de Trieste en 2009
  7. a b et c Musée Revoltella, Leonor Fini, l'Italienne de Paris, présentation de l'exposition, juillet 2009.
  8. Leonor Fini, Le livre de Leonor Fini. Peintures, dessins, écrits, notes de Leonor Fini, La Guilde du livre, Éditions Clairefontaine, 1975, p.41.
  9. (en) Nadia Pastorcich, « Leonor Fini : Life of an emblematic woman », Centoparole, 25 juillet 2016].
  10. a et b Les Muses, encyclopédie des arts, Grange Batelière, 1972, vol.7, pp.2218-2220.
  11. Your own guide, Achille Funi - La Chevauchée des Amazones.
  12. a b et c Georges Férou, « La sulfureuse Leonor Fini », L'Humanité, 2 février 2008.
  13. a b c et d Vincent Giroud, « Leonor Fini et Mandiargues, un roman inachevé », Non-Fiction, 22 mars 2011
  14. Perceval, Leonor Fini et André Pieyre de Mandiargues, 2/3, 25 février 2015.
  15. Michel Guerrin, « Cartier-Bresson, le photographe décisif », interview, Le Monde, 27 avril 2003.
  16. (it) Vittorio Sgarbi, « Leonor Fini Fabrizio Clerici Insomnia » Accès libre, sur Rovereto, Italia, (consulté le ).
  17. a b c et d (en) Sarah Kent, « Leonor Fini : surreal thing », The Telegraph, 30 septembre 2009.
  18. a b c et d Frédéric Ballester, Leonor Fini. Portraits, Cannes, Éditions de La Malmaison, 2002.
  19. Agnès de La Baumelle, « Leonor Fini », in Le Dictionnaire universel des créatrices, Éditions des Femmes, 2013.
  20. a b c d e f g h et i Giorgiana Colville, Scandaleusement d'elles. Trente quatre femmes surréalistes, Paris, Jean-Michel Place, 1999, p. 100-109.
  21. a et b Weinstein Gallery, Leonor Fini, réalisme irréel.
  22. a b et c Roger Peyrefille, Propos secrets, Albin Michel, 1977, p. 122.
  23. Armelle Héliot, Les Grands bals de l'après-guerre : munificence et charité bien ordonnée, dans Le Figaro, 28 juillet 2017.
  24. a et b José Alvarez (dir.), Le livre de Leonor Fini. Peintures, dessins, écrits, notes de Leonor Fini, Éditions Clairefontaine, 1975, pp.32-41.
  25. a et b Lina Mistretta, « Leonor Fini. Bastia », L'Œil, 25 juin 2014.
  26. « Eglise du couvent Saint-François de Nonza » Accès libre, sur fondation-patrimoine.org (consulté le ).
  27. Plaque commémorative « Leonor Fini », 8 rue La Vrillière, Paris, sur djibnet.com.
  28. Histoires et légendes du chat, préface de Leonor Fini, Tchou, 1992 (lire en ligne).
  29. « Leonor Fini et ses dix-sept chats, source d'inspiration inépuisable », Micetto, 15 septembre 2015.
  30. Montmartre secret, Leonor Fini, chats, tableaux (1), 13 octobre 2011.
  31. Montmartre secret, Leonor Fini, chats, tableaux (2), 15 octobre 2011.
  32. a et b Jacques Busse et Christophe Dorny, Dictionnaire Bénézit, Grûnd, 1999, vol.5, pp.466-467.
  33. (it) Maria Masau Dan, « Leonor Fini l’italienne de Paris » Accès libre, sur Trieste, Italia, (consulté le ).
  34. « matchID - Moteur de recherche des décès », sur deces.matchid.io (consulté le ).
  35. (it) Ulderico Munzi et Emilio Tadini, « Addio a Leonor Fini, furia italiana del surrealismo », Corriere della Sera, 20 janvier 1996.
  36. La Tribu des gatos, Les amis des gatos : Leonor Fini.
  37. (en) « Her physical beauty, her erotic art and her legions of lovers whose names read like a roll call of the literary and artistic talents of that brilliant age », Spaightwood Galleries, Leonor Fini.
  38. Landru cimetières, Le cimetière de Saint-Dyé-sur-Loire.
  39. a et b Espérance Giral, « Les étranges passages de Leonor Fini », La Dépêche, 16 août 2001
  40. « Léonor Fini redevient une artiste de premier rang - Artmarketinsight - Artprice.com », sur fr.artprice.com (consulté le ).
  41. Marie-Thérèse Eiselé, « Les vitraux de l'ancienne église abbatiale Saint-Nabor », Cahier du pays naborien, n°18
  42. Andrea Oberhuber et Caroline Hogue, « "Le Poids d'un oiseau" de Lise Deharme et Leonor Fini : le poids d'une revenante », Le Livre surréaliste au féminin
  43. Christian Karoutzos, « L'Apocalypse de Saint-Jean », Galerie d'art KC
  44. a b et c Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz. Estampes et livres d'artistes, Paris, BnF, 1992.
  45. (en) Schiaparelli Paris, Schiaparelli and the artists : Leonor Fini.
  46. Musée des arts décoratifs de Paris, Lendemain de fête, papier peint, création Leonor Fini.
  47. Château Mouton Rothschild, Millésime 1952, Leonor Fini.
  48. Perceval, « Il était une fois le féminin : Leonor Fini et André Pieyre de Mandiargues, 3/3 », Cherchez la femme, 2 mars 2015.
  49. « Les expositions à voir à Paris - Leonor Fini : femmes de rêve et matière de pierres précieuses », Connaissance des arts no 85, mars 1959, p. 33.
  50. a et b Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, p. 311.
  51. Galeries Minsky et Patrick Fourtin, Leonor Fini, œuvres majeures, 2014
  52. Galerie Minsky, Leonor Fini - Cherchez la femme, 2016
  53. Joseph Nechvatal, « The unclassifiable art of Leonor Fini, a true bohemian », Hyper Allergic, 13 janvier 2016
  54. « Leonor Fini : les premières années à Paris », Germain Pire, septembre 2017
  55. Galerie Minsky, Leonor Fini. Œuvres des années 1930, 2017
  56. Galerie Minsky, Leonor Fini - Portraits intimes, dossier de presse, 2018
  57. « Leonor Fini : les lettres à André Pieyre de Mandiargues », Le Figaro, 6 décembre 2010
  58. Institut français de Suède, Leonor Fini. Pourquoi pas ?, présentation de l'exposition, 2014
  59. Musée de Bastia, Vacances d'artistes. 1956, Leonor Fini à Monza, présentation de l'exposition, 2014
  60. « Dans la magie de Leonor Fini », Connaissance des arts, 28 novembre 2014.
  61. a et b « Saint-Dyé : une exposition et un hommage à Leonor Fini », La Nouvelle République, 28 juin 2016
  62. Musée de l'Hospice Saint-Roch, Leonor Fini. Dessins et gravures, présentation de l'exposition, 2019
  63. Musée de l'érotisme, Theater of desire, 1930-1990
  64. (en) Daniel McDermon, « Sex, surrealism, and de Sade : the forgotten artist Leonor Fini », The New York Times, 6 novembre 2018.
  65. (en) Museum of Sex, Leonor Fini's erotic theater, 2019.
  66. a et b « Les personnages fantastiques de Leonor Fini », La Nouvelle République, 1er mars 2019.
  67. Musée de l'Hospice Saint-Roch, Issoudun, Leonor Fini, présentation de l'exposition, mars 2019.
  68. Bernard Léchot, « L'univers mystérieux et artificiel de Leonor Fini », Swissinfo, 27 avril 2001.
  69. Musée d'art de Pully, De Cuno Amiet à Zao Wou-Ki - Le fonds d'estampes Cailler, dossier de presse, 2013
  70. Bibliothèques-médiathèques de Metz, Et maintenant, aux fesses !, présentation de l'exposition, 2014
  71. (en) Claire Mead, « Dreamers awake à White Cube Bermondsey », Archives of Women Artists, 8 septembre 2017.
  72. a et b « La Combraille à tire d'ailes - Pour s'envoler sur tous les tableaux », La Montagne, 16 août 2020
  73. Jean Cassou, Leonor Fini, Paris, Éditions Galerie Jacques Bonjean, 1932.
  74. André Pierre de Mandiargues, Masques de Leonor Fini, Éditions André Bonne, 1951.
  75. Jean Cocteau, Leonor Fini, Venise, Éditions Palazzo Reale, 1951.
  76. a et b Patrick Waldberg, Le Surréalisme, Éditions d'art Albert Skira, Genève, 1962, pp.111-115.
  77. Jean Claude Dedieu, Léonor Fini. Fêtes secrètes, dessins, éditions du Regard, 1978.
  78. Jacques Audiberti, Leonor Fini, Paris, Hervas, 1990.
  79. (en) Ara H. Merjian, « Surrealist women », Art in America, 1er décembre 2018.
  80. « Haute couture : Dior célèbre la peintre surréaliste Leonor Fini », France-Info, 23 janvier 2018.
  81. Dior artistic director Maria Grazia Chiuri presents her haute-couture collection inspired by surrealist painter Leonor Fini, reportage, source : YouTube, visionner en ligne (durée : 0'55").
  82. Simon Corley, « Lucien Guérinel : "Le déjeuner de soleil" », ConcertoNet, 9 février 2011.
  83. Monnaie de Paris, Leonor Fini, médaille de Riccardo Scarpa.
  84. Nicoletta Colombo, Découverte du visage de Leonor Fini dans le "Portrait féminin" d'Achille Funi, musée Revoltella, 24 décembre 2008.
  85. (it) Eva, « Un mystère révélé au musée Revoltella : Achille Funi et Leonor Fini », Mondo del gusto, 3 janvier 2009.
  86. (it) « Leonor est la fille dans le portrait de Funi », Il Piccolo, 4 janvier 2009.
  87. Musée Robert Tatin, l'allée des géants.
  88. Site Leonor Fini, Les photographies de Leonor Fini.
  89. Musée royal d'art moderne à Bruxelles, Leonor Fini dans les collections.
  90. David Colling, « Acquisitions du Musée Gaspar par l'Institut archéologique du Luxembourg, la Ville d'Arlon et la Fondation Roi Baudouin en 2019-2021 », Bulletin trimestriel de l'Institut archéologique du Luxembourg, vol. 97, nos 3-4,‎ , p. 142
  91. Musée de l'Hospice Saint-Roch, Le salon de Leonor Fini
  92. Éric Biétry-Rivierre, « En 2008, l'art féminin aura la cote », Le Figaro, 2 janvier 2008.
  93. « Quand Leonor Fini faisait salon », La Nouvelle République, 31 décembre 2011.
  94. France Fougère, « Une femme insolite : Leonor Fini telle que l'a connue René Vigo », cercle René-Vigo, 7 mai 2011.
  95. Collection Peggy Guggenheim, Leonor Fini.
  96. West Dean College, West Dean Collection
  97. Art Expo, La collection Kesauri.
  98. [PDF] L'Huillier, Paris, Collection Hector Pascual, hôtel Drouot, 16 octobre 2015.

Annexes

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Filmographie

[modifier | modifier le code]

Télévision

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :