Les philosophes entendent alors faire de la raison, ou lumière naturelle, le fondement de toute connaissance mais surtout la base d'une morale universelle et d'un déisme, capable de se substituer aux religions traditionnelles[1].
Jules Simon, La religion naturelle, Hachette, 1854 (réédition en 1856)
William Paley, Théologie naturelle ou Preuves de l'existence et des attributs de la divinité, tirées des apparences de la nature, édition originale en anglais, 1802. traduit en français en 1813
XVIIIe siècle
Abel Fornand Bauvinay, Religion naturelle : Qu'ellessont les institutions religieuses qui peuvent contribuer à propager les vertus d'un Peuple libre, Lesourd, Paris, 1799
Henri Griffet, L'insuffisance de la Religion naturelle prouvée par les vérités contenues dans les livres de l'Écriture sainte, altesse & librairie, Liège, 1770
↑Dans la religion de Comte, qui est une religion naturelle sans Dieu, ni aucun dieu, l'humanité est placée au-dessus de tout, ce qui explique la majuscule