Ascension droite | 00h 21m 51,6260s[1] |
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Déclinaison | +22° 22′ 05,617″[1] |
Constellation | Andromède |
Magnitude apparente | 13,05 (bande K) |
Localisation dans la constellation : Andromède | |
Mouvement propre |
μα = −2,236 mas/a[1] μδ = −3,148 mas/a[1] |
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Parallaxe | 0,498 5 ± 0,039 9 mas[1] |
Distance | 2 006 ± 161 pc (∼6 540 al)[1] |
Rayon |
2,12+0,27 −0,23 R☉[1] |
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Luminosité | 4,35 ± 0,79 L☉[1] |
Température |
5 730+331 −337 K[1] |
Désignations
NGC 91 est une étoile située dans la constellation d'Andromède[3].
Les premières observations ont lieu dans la seconde moitié du XIXe siècle. L'étoile est découverte dans la seconde moitié le par R. J. Mitchell[3], un astronome irlandais, assistant de William Parsons, qui pourrait avoir en lieu et place observé NGC 90. Elle est également observée le par Heinrich Louis d'Arrest, le par Guillaume Bigourdan. Enfin, l'astronome suédois Herman Schultz l'observe également[3].
La littérature scientifique désigne parfois la galaxie NGC 90 sous la référence NGC 91[3]. Ainsi, en 1982, des chercheurs proposent un modèle de balayage par effets de marée à l'échelle galactique pour le système formé par les galaxies NGC 93 et NGC 90, désignée comme étant NGC 91[4].
Le titre Not a test du Peuple de l'Herbe, sur l'album A Matter of Time fait référence à un titre de fiction, Quand le soir tombe sur la nova NGC 91.