Le Distrait est un film français réalisé par Pierre Richard, sorti en 1970.
Synopsis
Glycia Malaquet convainc son amant, Alexandre Guiton, directeur d'une agence de publicité, d'engager son fils Pierre, garçon charmant et imaginatif mais affligé d'une distraction de tous les instants. Ce dernier se signale très vite en proposant des idées plus saugrenues les unes que les autres et en semant la panique autour de lui.
La confrontation de Pierre avec M. Klerdenne, autre personnage affublé d'une incroyable distraction, conduit à deux scènes comiques d'anthologie.
Production
Lieu de tournage
L'immeuble de l'agence de publicité se trouvait au 14 Boulevard de Richelieu à Rueil-Malmaison. Il a été démoli en 2015.
Autour du film
Cette section « Anecdotes », « Autres détails », « Le saviez-vous ? », « Autour de... », « Divers », ou autres,
est peut-être inopportune. En effet,
en tant qu'encyclopédie, Wikipédia
vise à présenter une synthèse des connaissances sur un sujet, et non un empilage d'anecdotes, de citations ou d'informations éparses (mai 2022).Pour améliorer cet article il convient, si ces faits présentent un
intérêt encyclopédique et sont
correctement sourcés, de les intégrer dans d’autres sections.
- C'est le premier film de Pierre Richard en tant que réalisateur. Il prend par ailleurs l'habitude d'utiliser son véritable prénom pour les autres films qu'il réalise par la suite, à l'exception des Malheurs d'Alfred.
- Ce film connaît un succès, ce qui lance par ailleurs la carrière de Pierre Richard au cinéma.
- Le producteur du film, Yves Robert y fait une apparition.
- Le dialoguiste André Ruellan (également auteur de science-fiction sous son nom et sous divers pseudonymes dont celui de Kurt Steiner) y fait une apparition, à la 52e minute : « Il faut un spécialiste. Je suis maître-nageur. »
- Yves Robert a fait tourner Pierre Richard en 1967 dans Alexandre le bienheureux et le fait tourner de nouveau dans la série des Grand blond et Le Jumeau.
- Le film a fait 1 424 216 entrées en France[2].
- La mélodie jouée au violon lors de la seizième minute, quand le personnage vagabonde dans un appartement qu'il prend pour le sien, sera réutilisée par son compositeur pour le couplet de la chanson Puissance et Gloire en 1985 pour le feuilleton télévisé français Châteauvallon.
- Le Boeing 707 de la fin du film est Le Château d'Amboise immatriculé F-BHSH.