Directeur de recherche au CNRS |
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Jean Levi (né le [1]) est un orientaliste français, spécialiste de la Chine et de la pensée chinoise. Il travaille principalement sur les systèmes de représentations en Chine ancienne. Il a publié de nombreux essais sur le taoïsme et la religion populaire ainsi que des traductions de grands classiques chinois.
Jean Levi est directeur de recherche au CNRS. Il a enseigné dans les universités de Paris, Bordeaux, Genève et Montréal.
Il est neveu de la romancière italienne Natalia Ginzburg (née Levi) et cousin de l'historien Carlo Ginzburg[2]. Il est le père de la romancière Célia Levi.
Dans le premier chapitre, intitulé « Le Grand Empereur et les guerriers d'argile », de son livre La Chine est un cheval et l'univers une idée, Jean Levi affirme que l'Armée de terre cuite est un faux[3]. Il reprend ainsi à son compte les idées déjà exposées avant lui par l'écrivain situationniste Guy Debord[4], le journaliste Jean Leclerc du Sablon[5] et le diplomate et sinologue suisse Térence Billeter[6]. Il précise et explique point par point sa pensée dans un entretien réalisé par Alessandro Mercuri, Un mythe aux mains d'argile[7].