Jean-Baptiste Lemoyne obtient le prix de Rome en sculpture de 1725. Il est le maître d'Augustin Pajou pour qui il représente la grande tradition de la sculpture française. Il est en effet le portraitiste attitré du roi Louis XV et son statuaire monumental.
Angers, musée des beaux-arts : Portrait d'Ulrich Frédéric Waldemar, comte de Lœwendahl, maréchal de France (1700-1755), Salon de 1750, buste en terre cuite ;
Musée Cognacq-Jay : Portrait d'Ulrich Frédéric Waldemar, comte de Lœwendahl (1700-1755), 1745-1750, buste en terre cuite sur piédouche en porphyre rouge d'Égypte[8] ;
Fillette au fichu, 1769, buste, plâtre original[12] ;
Louis XV, roi de France et de Navarre (1710-1774), statuette en terre cuite, esquisse pour la statue réalisée en bronze dans une niche de l'hôtel de ville sur la place royale de Rennes, faisant partie du monument inauguré en 1751[13] ;
Réduction du monument à Louis XV élevé à Rennes, 1777, groupe en bronze[14] ;
Modèle du monument à Louis XV destiné à la ville de Rouen, 1772, groupe en bronze[15] ;
Abbé Joseph de La Porte, « Sculpteurs et leurs ouvrages : Le Moine le fils », dans La France litteraire ou les beaux arts, Paris, chez Duchesne libraire, (lire en ligne), p. 240
Simone Hoog, Musée national de Versailles. Les sculptures. I - Le musée, préface de Jean-Pierre Babelon, avec la collaboration de Roland Brossard, Réunion des musées nationaux, Paris, 1993