Famille de Monteynard
Image illustrative de l’article Famille de Monteynard
Armes de la famille.

Blasonnement De vair, au chef de gueules chargé d'un lion issant d'or.
Devise Pro Deo Fide Et Rege
Cri de guerre "Potius Mori"
Branches de Marcieu, de Beaulieu, de La Tour, de Leyssaud, de Montfrin, du Chastelard, etc
Période XIVe siècle ou XVe siècle - XXIe siècle
Pays ou province d’origine Drapeau du Dauphiné Dauphiné
Allégeance Drapeau du Dauphiné Dauphiné
Drapeau de la Savoie (Région historique) Savoie
Drapeau du royaume de France Royaume de France
Charges chambellans du roi
échanson
conseillers du roi
premier consul de Grenoble
président de la cour des comptes de Grenoble
ministres
secrétaire d'État à la Guerre
etc.
Fonctions militaires officiers
sénéchaux
gouverneurs
maréchaux de camp
lieutenant-généraux
etc.
Fonctions ecclésiastiques archevêque
évêques
abbesses
etc.
Récompenses civiles Pair de France
Preuves de noblesse
Admis aux honneurs de la Cour 1756, 1760, 1767, 1771 et 1789

La famille de Monteynard est une famille subsistante de la noblesse française originaire du Dauphiné où elle tient son nom de la terre de Monteynard.

Elle appartient à la noblesse d'extraction chevaleresque sur preuves d'une filiation probable de 1336 ou à la noblesse d'ancienne extraction sur une preuve certaine vers 1415. Elle donna plusieurs branches et subsiste à travers une branche fixée en Languedoc au XVIe siècle, titrée marquis de Montfrin en 1652.

Plusieurs historiens et généalogistes donnent les Aynard de Domène comme les ancêtres des Monteynard en donnant une filiation suivie à partir de Rodolphe de Domène vivant en 965.

Histoire

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Origines

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Les différents auteurs qui ont traité de cette famille lui donnent pour premier nom celui d'Ainard ou Aynard et font débuter sa filiation à Rodolphe Aynard vivant au Xe siècle. Ils auraient au XVe siècle pris celui de Montainard devenu Monteynard par la suite[1].

Cependant la filiation suivie et prouvée de cette famille ne fait pas consensus chez les spécialistes.

Aynard de Domène

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Jacques Cellard et Eric Vial écrivent qu' « Aynard et Eynard sont la contraction d'Eginhard (Agin + Hard), nom qui fut porté par un ministre de Charlemagne »[2]

Selon les travaux du juriste Pierre Maurice (2013), le nom d'Aynard aurait été adopté par cette famille au VIIIe siècle après la canonisation par acclamation du célèbre ermite Saint Aynard (ou Eynard). Ce dernier, probablement originaire d'Allemagne, vécut et mourut en odeur de sainteté dans la vire située au pied de la falaise sommitale de la montagne qui porte actuellement son nom. Voulant rendre hommage à ce saint personnage, qui s'était installé sur ses terres, elle instaura la tradition de donner aux fils ainés le prénom d'Aynard, à une époque où les membres d'une famille ne portaient q'un nom individuel[3], et où nul n'avait le droit de porter un nom, s'il n'avait pas été porté par ses ancêtres en ligne direct[4]. À la fin du XIIe siècle un de leurs châteaux tombant en ruine, une des branches décide de s'installer dans la région de La Motte-d'Aveillans. Ils deviennent seigneur d'une paroisse appelée "Mont", d'où le nom qu'il leur est donné alors d'Eynard du Mont. Le village devient rapidement le Mons Aynardi (Mont appartenant aux Aynard), puis Monteynard[3].

Félix Bernard (1949) nous présente les Aynard plus d'un siècle avant la défaite sarrasine dès la seconde moitié du IXe siècle où ils se distinguent parmi les grands vassaux du Lyonnais et du Mâconnais. Au Xe siècle, on les aperçoit sûrement en Graisivaudan, où ils fondent plus tard le prieuré de Domène qui nous renseigne sur leur puissance au début du XIe siècle. L'auteur présente aussi les différentes possessions et les branches des Aynard en passant également par leurs alliances avec la Maison de Savoie. D'après ses recherches, les Aynard de Domène seraient à l'origine des familles d'Arvillard, de Miribel, de Bocsozel. Félix Bernard précise que les Aynard ont pris plus tard, le nom de Monteynard[5]. Il émet l'hypothèse selon laquelle le carolingien Éginhard pourrait être un ancêtre[4].

L'historien du Dauphiné Jean-Pierre Moret de Bourchenu, dit Monsieur de Valbonnais, dans son Histoire de Dauphiné (1721), écrit que cette famille remonte par titres jusqu'au milieu du Xe siècle et en donne les premiers degrés, d'après les cartulaires de Saint-Hugues et du prieuré de Domène, à partir de Rodolphe, qui reçut diverses donations d'Isarn, évêque de Grenoble en 960 jusqu'à Guigues Aynard, seigneur de Domène, vivant en 1155[6]. La filiation donnée par Monsieur de Valbonnais a été reprise par d'autres auteurs. Gustave de Rivoire de La Bâtie (1867) écrit que c'est vers le commencement du XIe siècle que le nom d'Aynard devient le nom patronymique de cette maison[6].

Cette installation, vers le Xe siècle, repose notamment sur la tradition — notamment chez Nicolas Chorier (1612-1692) ou encore Guy Allard (1635-1716) — selon laquelle l'évêque Isarn ait fait appel à des nobles d'origines étrangères à la région — les Lombard, les Alleman ou encore les Aynard — afin de repeupler voire protéger le diocèse de Grenoble[7]. Rodolphe serait le représentant de ces Aynard, dont Nicolas Chorier dit qu'il serait originaire d'Allemagne, et que l'on qualifie dans le Cartulaire de Grenoble (XLVI) de filleul de l'évêque[7] (episcopus Isarnus Radulfo, avo meo, pro filiatico)[8]).

Pierre-Louis Lainé, dans sa généalogie de la maison de Monteynard (1840) indique que l'évêque fait appel à des grands personnages des régions voisines notamment de la Savoie ou de la Provence et que parmi eux se trouve Rodolphe Ier et qu'en récompense de ses exploit il obtient toutes les terres situées entre le lieu appelé la coche de They jusqu'au ruisseau de Domène, précisant les environs de Domène, moins le château et le bourg, et uniquement le château de Theys, sans la juridiction[9]. II précise également que le nom d'Aynard est fréquemment adopté par plusieurs familles considérables "soit par suite d'alliances soit à raison du lustre attaché à l'origine de ce nom". Celle de Clermont-Tonnerre le porte depuis 1070 et le porte encore aujourd'hui[10].

Selon certains auteurs, avant que les Aynard de Domène ne s'installent au XIVe siècle dans un château sur la rive gauche de l'Isère dans un lieu qui prit le nom de Monteynard, ils donnent leur nom au Mont Eynard, sur la rive droite de l'Isère à deux lieues de Grenoble, cité vers 1027, où se trouve leur premier château tombé en ruine[11]. Selon d'autres auteurs, le Mont Eynard (Mons Aynardus, vers 1047, Cartulaire de Domène), proche de Grenoble, appelée désormais Mont Saint-Eynard, tiendrait son nom de l'ermitage du Saint-Eynard[12].

Auguste Prudhomme (1888) indique que la famille revendique « comme son chef » Aynard/Ainard, seigneur de Domène et fondateur du prieuré de Domène, selon un acte estimé vers 1027[13]. Ce personnage dit dominus est considéré comme le fondateur du prieuré de Domène, vers 1027[14]. Il est mentionné auprès de son épouse, Fecenna, et à ses frères Rodolphe, futur évêque de Gap, Gention, Vuigon et Aténulfe[15].

Querelle avec les Alleman (1335-1340)

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En 1335, débute un affrontement opposant les Alleman aux Aynard, à laquelle participe presque toute la noblesse du Dauphiné [16]. Guy Allard indique que « Cette guerre, qui en fut presque une civile, dura cinq ans et fut terminée en 1340. »

Les deux familles se disputent les égards du Dauphin du Viennois. Les changements de Dauphin et les différentes faveurs accordées mènent les deux familles à un conflit. Aux côtés des Aynard, on retrouve, dans un premier temps, le dauphin Humbert II, ainsi que les chefs de famille des Varces, des Commiers, des Châteauneuf ou encore des Bardonenche. Du côté des Alleman, ce sont seize chefs de famille, dont les Sassenage, les Arces, les Grezieu ou encore les Seyssel de la Savoie voisine. Malgré l'interdiction des passes d'armes, les deux familles s'affrontent donnant lieu à des meurtres et des incendies[16].

Le dauphin Humbert II cherche à apaiser la région et à apporter la paix. Après cinq années, les deux familles font la paix lors d'une assemblée solennelle à Grenoble tenu par la dauphin en présence de la magistrature et de la noblesse de la province[16].

Histoire de la noblesse du comté-Venaissin (1750) précise que cette querelle par ces troubles engendrés durait encore en 1348, car les seigneurs de la Tour et de Châteauneuf qui avait eu part à cette Guerre étaient encore brouillés en ce temps-là. L’avènement du dauphin Charles mit entièrement fin à ces mouvements, par un traité du 17 juin 1350[17].

Famille de Monteynard

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Les auteurs Guy Allard (1684)[18], Moréri (1759)[19] ou encore Léon de Givodan (1852)[20] indiquent que les Aynard de Domène prennent le surnom de Montainard, alias Monteynard au XIVe siècle. La Chesnay des Bois (1775)[21], La Roque (1860)[22], Rivoire de La Bâtie (1867)[23] donnent au XVe siècle. Albert Révérend (1905)[24] donne le XVIe siècle.

Là encore les différents auteurs ne s'accordent pas sur une filiation suivie prouvée.

La famille de Monteynard prouve sa noblesse (entre 1654 et 1674) devant Claude Bezons depuis Raymond de Montenard vivant au XVe siècle[22].

Louis Chasot de Nantigny, dans Tablette historiques, généalogiques et chronologiques (1751), écrit « La maison de Montaynard a ce rare avantage, de prouver sa filiation par des chartres & titres autentiques depuis Rodolphe, l'un des plus grands Seigneur du Gresivaudan, qui vivoit vers l'an 960, & dont le fils Ainard fonda vers 1027 dans la terre de Domene, un Prieuré qui subsiste encore aujourd'hui. »[25]

Aux Honneurs de la Cour, elle prouve une filiation remontant à 1336[26].

André Borel d'Hauterive, dans l'annuaire de la pairie et de la noblesse de France (1844) indique que « La filiation de cette maison est authentiquement prouvée depuis Rodolphe Ier, seigneur de Domène, qui, du temps de Conrad, roi de Bourgogne, vers l'an 965, secourut Isarn, évêque de Grenoble, contre les sarasins réfugiés dans les montagnes voisines. »[27]

Dayre de Maihol, dans le Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française (1895) écrit « La maison de Monteynard jouit du rare avantage d'une suite d'aïeux, prouvés par les titres les plus authentique, depuis le milieu du Xe siècle jusqu'à aujourd'hui »[28]

Le Rex, Annuaire généalogique de la noblesse de France (1910), indique que « la filiation authentique et suivie est établie depuis Ainard II, donataire à l'abbaye de Domène, vers 1060 »[29].

Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, dans leur Grand armorial de France (1948,) écrivent « La filiation de cette maison, établie d'une façon probable depuis Lantelme Ainard, trouvé en 1336, n'est certaine que depuis Raymond de Monteynard, né vers 1415 (fils de Jean et de Marguerite Alleman), qui testa en 1489 »[30].

L'Armorial du Trièves-symbolisme et vielles familles, par François Roche (1962) donne 960 comme date d'ancienneté[31].

Régis Valette, dans le Catalogue de la noblesse française au XXe siècle (2007), indique que la famille de Monteynard est de noblesse d'ancienne extraction sur preuves de filiation noble vers 1415[32].

L'ouvrage de Tallandier, Le Dictionnaire de la vraie noblesse (2008), indique que la famille de Monteynard est d'exctraction chevaleresque sur une preuve de 1336[33].

Personnalités issues des Aynard de Domène (filiation non prouvée)

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Branches

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La famille de Monteynard donna plusieurs branches à partir des premiers auteurs de la filiation admise ou prouvée : Raymond Eynard I, seigneur de Monteynard, de Montlaur, de l'Argentière etc., qui fit foi et hommage pour les terres de sa maison le 25 septembre 1365, marié à Galburce Béranger puis à Marguerite de Rochefort, dame en partie de l'Argentière, dont il eut Jean Eynard I, seigneur de Monteynard et de Montlaur (qui teste en 1415), marié à Marguerite Alleman[39].

Raymond de Monteynard (né vers 1415 et qui teste en 1489), fils de Jean I de Monteynard et de Marguerite Alleman, épousa Marie d'Arces puis Claude-Béranger du Gua[39]. Son fils, Hector de Monteynard, seigneur de Montfort et de Chalençon († 1501), marié en 1487 à Marguerite Paléologue de Montferrat, eut entre autres enfants[30] :

Branche des seigneurs de Monteynard

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Louis I de Monteynard

Branche de Marcieu (éteinte en 1622)

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Armes de François de Monteynard, Martyrologe des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem

Branche de Beaulieu (éteinte vers 1634)

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Branche de la Tour (éteinte en 1652)

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Cette branche établie au Comté Venaissin vers 1515 avec Eynard de Monteynard, écuyer[42] donna :

Branche suisse (Eynard)

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Une famille suisse Eynard (ou Aynard) semble, selon le généalogiste Jacques Augustin Galiffe (1895), issue de la famille dauphinoise, « mais très anciennement »[44]. Cette tige, selon le Marquis de Magny (1846), serait passée à la foi réformée, à la fin du XVIIe siècle, à la suite des persécutions religieuses[43].

Galiffe (1895) mentionne comme première personnalité Jacques Eynard, de La Baume-Cornillane réfugié à Genève et reçu Bourgeois 1686[44]. Jean-Gabriel Eynard compte parmi les descendants de cette tige[44]. Ce dernier est un entrepreneur, diplomate qui s'engage notamment pour l'indépendance grecque et à l'origine du palais Eynard, à Genève.

Branche de Leyssaud (branche naturelle non rattachée et éteinte)

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Cette branche est citée par Gui Allard, qui n'en indique pas la souche. Par sa position elle peut être considérée comme branche naturelle[45] Elle donna entre autres :

Branche de la Pierre, seigneurs puis marquis de Montfrin (1652), en Languedoc (subsistante)

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Louis II de Monteynard

Cette branche a pour auteur Louis II de Monteynard, co-seigueur de Theys et de la Pierre, chevalier de l'ordre du Roi, second fils de Louis I, seigneur de Monteynard, et de Madelaine Allemand[47]. Elle donna notamment :

Joseph de Monteynard
Armoiries de pair de France d'Hector-Joseph de Monteynard

Branche du Chastelard en Dauphine (éteinte en 1791)

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Cette branche au pour auteur Gui-Balthazard de Monteynard, co-seigneur de Theys et de la Pierre, second fils de Marius, seigneur de Monteynard[51]. Elle donna notamment :

Personnalités

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Titres et seigneuries

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Titres

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La famille de Monteynard a porté les titres de courtoisie suivants et ses membres se qualifiaient autrefois dans les actes de "Premier Chrétien du Dauphiné".

Seigneuries

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Liste non exhaustive des seigneuries entrées en possession dans la famille[58] :

  • Seigneur de Monteynard
  • Seigneur de Savel
  • Seigneur de Royssas
  • Seigneur de Moire
  • Seigneur de la Motte
  • Seigneur de Larvas
  • Seigneur de Domène
  • Seigneur de Theys
  • Seigneur de Tencin
  • Seigneur de Gière
  • Seigneur du Touvet
  • Seigneur de Chastelard
  • Seigneur de Prébois
  • Seigneur de Gensac
  • Seigneur de Chalencon
  • Seigneur d'Arnayon
  • Seigneur de Curnier
  • Seigneur de Taulignan
  • Seigneur de Remolon
  • Seigneur de Piégu
  • Seigneur de Chanousse
  • Seigneur de Mont-Emule
  • Seigneur de Mont-Baxile
  • Seigneur de l'Argentière
  • Seigneur de Beaulieu
  • Seigneur du Poët-Sigilat
  • Seigneur de Montaulieu
  • Seigneur de Montferrand
  • Seigneur d'Allevard
  • Seigneur de Montgardin
  • Seigneur de Saint-Georges de Comiers
  • Seigneur de Saint-Jean d'Hérans
  • Seigneur de Mayres
  • Seigneur de Feuillans
  • Seigneur d'Avers
  • Seigneur de Gumiane
  • Seigneur de Meynes
  • Seigneur de Théziers
  • Seigneur de Chamagnieu
  • Seigneur de Saint-Clément
  • Seigneur de Mont-Aymon
  • Seigneur d'Avelanne
  • Seigneur de Ruat
  • Seigneur de Jardens
  • Seigneur de Vignalz
  • Seigneur de Lusson
  • Seigneur de Vers
  • Seigneur de Vaisse
  • Seigneur de Sainte-Eugénie
  • Seigneur de La Tour de Breydal
  • Seigneur de Leyssaud
  • Seigneur de Pays
  • Seigneur de Saint-Germain
  • Seigneur de Nolieu
  • Seigneur de La Tour
  • Seigneur de Saint-Julien
  • Seigneur de Molord
  • Seigneur de Monterel
  • Seigneur de Goncelin
  • Seigneur de La Tour d'Entremonts
  • Seigneur des Molettes

etc.

Armes et devises

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De vair, au chef de gueules chargé d'un lion issant d'or
Support : Deux lions, deux anges
Cimier : Un bonnet vairé surmonté d'un lion issant
Cri de guerre : Potius Mori
Devise : Pro Deo Fide et Rege

On retrouve déjà ces armes en sceau sur un acte passé à Saint-Jean-d'Acre en 1191 par Pierre-Aynard[37] et au XIIIe siècle peintes au Châtel de Theys.

Alliances

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Liste des principales alliances de la famille de Monteynard [59]:

Allinges, Albon, La Chambre, Beaumont, Bressieux, Faucigny, Bocsozel, Agoult, Morges, Peloux, Sassenage, Alleman, Arces, Chissé, Paléologue-Montferrat, Chevron-Villette, Talaru, Groléé, Murol, Gruyère, Vincens, Hostun, Seyssel, Guiffrey, Emé de Marcieu, Gadagne, Seguins, Garcin, Simiane, La Vergne, Nagu, Baschi, Foudras, Guerin Tencin, Dreux-Brézé, Le Cornu de Balivière, Chaponay, Gallien de Chabons, Courtarvel, Solages, La Croix de Chevrières, Colbert, Roquefeuil.

Propriétés

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Liste non exhaustive des propriétés ayant été possédées par les Aynard/Monteynard:

Références

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  1. Hélène Viallet, « Des Aynard aux Monteynard, histoire d'une puissante famille de la noblesse dauphinoise », Académie Delphinale,‎
  2. Jacques Cellard et Éric Vial, Trésors des noms de famille, des noms de villes et de villages, Humensis, (ISBN 978-2-410-01223-1, lire en ligne)
  3. a et b Pierre Maurice, « Louis-François de Monteynard, ses origines, son œuvre », Généalogie et Histoire, Centre d'Etudes Généalogiques Rhône-Alpes,‎ , p. 38-43 (lire en ligne).
  4. a et b Félix Bernard, Les origines Féodales en Savoie et en Dauphiné, Concours du centre National de la Recherche Scientifique, , p. 24-82.
  5. Félix Bernard, Les origines féodales en Savoie et en Dauphiné, , p. 44
  6. a et b Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 432 (lire en ligne).
  7. a et b Noël Didier, « Étude sur le patrimoine de l'église cathédrale de Grenoble du Xe au milieu du XIIe siècle », Annales de l'Université de Grenoble, no vol. 13,‎ , p. 5-87 (lire en ligne)
  8. Jules Marion, Cartulaires de l'église cathédrale de Grenoble dits cartulaires de Saint-Hugues, Imprimerie Impériale, (lire en ligne), p. XLVI, p.119-120.
  9. Lainé, 1840, p. 8-9 (lire en ligne).
  10. Généalogie de la maison de Monteynard (lire en ligne)
  11. Lainé, 1840, p. 6-7 (lire en ligne).
  12. Bulletin de la Société des amis du vieux Toulon, Société des amis du vieux Toulon, (lire en ligne), p. 187.
  13. Auguste Prudhomme, Histoire de Grenoble, Grenoble, A. Gratier, (lire en ligne), p. 74-75.
  14. Chartes de l'abbaye de Cluny, no 2801, t. IV, pp. 4-5 (années 1027-1028) et M. de Monteynard Cartulare monasterii beatorum Petri et Pauli de Domina, Lyon, éd. Charles de Monteynard, 1859 [publié anonymement], no 61, p. 59 (année 1027).
  15. Cartulare monasterii beatorum Petri et Pauli de Domina, no 61, dans Regeste dauphinois, p. 283, Tome 1, Fascicules 1-3 Acte no 1695 (lire en ligne).
  16. a b c et d Jules Quicherat, Histoire de la famille des Allemans, (lire en ligne [PDF]), p. 368-371
  17. Histoire de la noblesse du Comté-Venaissin, d'Avignon, et de la principauté d'Orange, dressée sur les preuves. Dediée au Roy, tome premier [-quatrieme] [Jean Antoine Pithon-Curt]: 4, chez la veuve De Lormel & Fils, imprimeur de l'Academie Royale de Musique, ruë du Foin, vis-àvis les Mathurins, à l'Enseigne Sainte Génevieve, (lire en ligne)
  18. Guy Allard, Dictionnaire Historique Chronologique, Géographique... Du Dauphiné de Guy Allard : Publié Pour la Première Fois Et Dáprès Le Manuscrit Original Par H. Gariel. I, Allier, (lire en ligne)
  19. Louis (1643-1680) Auteur du texte Moreri, Le grand dictionnaire historique, ou Le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane. Tome 7 : ... par Mre Louis Moreri,... Nouvelle édition, dans laquelle on a refondu les Supplémens de M. l'abbé Goujet, le tout revu, corrigé et augmenté par M. Drouet, (lire en ligne)
  20. Léon de Givodan, Livre d'or de la noblesse européenne, Collège héraldique et archéologique de France, (lire en ligne)
  21. François-Alexandre Aubert de la Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de la France, l'explication de leurs armes, & l'état des grandes terres du royaume ... On a joint ... le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une notice des familles étrangères, les plus anciennes, les plus nobles, & plus illustrés ..., Chez la veuve Duchesne ... et l'auteur, (lire en ligne)
  22. a et b Louis de La Roque, Armorial de la noblesse de Languedoc, Généralité de Montpellie : Tome 1, BoD – Books on Demand, , 1118 p. (ISBN 978-3-385-00054-4, lire en ligne)
  23. Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 433 (lire en ligne).
  24. a et b vicomte Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la restauration 1814-1830, Champion, (lire en ligne), p. 167.
  25. Louis Chasot de Nantigny, Tablettes historiques, généalogiques et chronologiques, Chez Le Gras, (lire en ligne)
  26. François Bluche, Les Honneurs de la Cour, ICC, 1958, page 73.
  27. « Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe », sur Gallica, (consulté le )
  28. Camille Philippe (1843-1898) Auteur du texte Dayre de Mailhol, Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française, rédigé dans l'ordre patronymique, d'après les archives des anciens Parlements, les manuscrits de d'Hozier et les travaux des auteurs, contenant un vocabulaire du blason, la notice des familles nobles existant actuellement en France, avec la description et le dessin de leurs armes : par D. de Mailhol, 1895-1897 (lire en ligne)
  29. Guy Gourdon, Rex, Annuaire généalogique de la noblesse de France,
  30. a b c d et e GAF, p. 94-95.
  31. François Roche, « Armorial du Trièves - symbolisme et vieilles familles », Bulletin mensuel de l´Académie Delphinale n. 3 - Mars 1962,‎ , p. 65
  32. a et b Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXe siècle, Robert Laffont, 2002, page 142.
  33. Tallandier, Dictionnaire de la vraie noblesse,
  34. a b c d et e Lainé, 1840, p. 8-34 (lire en ligne).
  35. Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 432.
  36. Guy Allard, Dictionnaire du Dauphiné, Grenoble, Edouard Allier, (lire en ligne), p. 101
  37. a et b Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 806.
  38. Lainé, 1840, p. 42-43 (lire en ligne).
  39. a b c d e f g et h Lainé, 1840, p. 62-75 (lire en ligne).
  40. a b et c Lainé, 1840, p. 97-99 (lire en ligne).
  41. Lainé, 1840, p. 100-101 (lire en ligne).
  42. a et b Lainé, 1840, p. 65-66 (lire en ligne).
  43. a et b Marquis de Magny, Illustrations européennes... Livre d'or de la Noblesse, secrétariat général du collège Héraldique, (lire en ligne), p. 181-182
  44. a b et c Jacques Augustin Galiffe, Notices généalogiques sur les familles genevoises : depuis les premiers temps, jusqu'à nos jours (vol. 3), J. Barbezat, (lire en ligne), p. 202-213.
  45. a et b Lainé, 1840, p. 66-67 (lire en ligne).
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  47. a b c d e f g h i j k et l Lainé, 1840, p. 76-87 (lire en ligne).
  48. a et b Louis de La Roque, Catalogue des chevaliers de Malte, (lire en ligne)
  49. Henry de Woelmont, Les Marquis Francais, Paris, Champion, , p. 103
  50. Généalogie de la maison de Monteynard, (lire en ligne)
  51. a b c d et e Lainé, 1840, p. 88-97 (lire en ligne).
  52. Bernard Perrin, Dans l'ombre de l'Histoire, Louis-François de Monteynard, un exemple pour l'Europe, , 304 p.
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  58. ???, Généalogie de la maison de Monteynard, (lire en ligne), ???.
  59. Ambroise (1840-1912) Auteur du texte Tardieu, Dictionnaire des anciennes familles de l'Auvergne, comprenant toute la noblesse qui a résidé ou qui réside dans cette province et la plupart des vieilles maisons de bourgeoisie qui ont possédé des fiefs ou qui ont droit d'armoiries, avec les noms des représentants actuels , par Ambroise Tardieu,..., (lire en ligne)
  60. « Une histoire plus que millénaire – Châtel de Theys », sur chateldetheys.com (consulté le )
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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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