La légende dit que pour mieux peindre les spasmes d'un mort, il se serait laissé entraîner au meurtre et, pour ces raisons, il se serait réfugié à la chartreuse de Milan(certosa di Garegnano).
Mort de la peste, il a laissé, entre autres, une Déposition de Croix, une Lapidation de S. Étienne et la Vie de S. Bruno, à la chartreuse de Milan.
Daniele Crespi avec Il Morazzone et Giulio Cesare Procaccini seront nommés les « peintres de la peste » (parfois emportés comme lui par l’épidémie), la Contre-Réforme encourageant les peintres à multiplier les représentations du nouveau saint Carlo, de martyrs et de miracles.
↑Renaissance du Musée de Brest, acquisitions récentes : [exposition], Musée du Louvre, Aile de Flore, Département des Peintures, 25 octobre 1974-27 janvier 1975, Paris, , 80 p.