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La coercition est l'action de contraindre quelqu'un, pour le forcer à agir ou à s'en abstenir. Elle existe notamment par contrainte physique ou psychologique. En droit pénal, on parle d'un délit de contrainte.

L’État et la coercition

Philosophie et sociologie ont théorisé la notion d’autorité légale, dont certaines perspectives considérent l’État comme seule entité des sociétés nationales qui en principe peut utiliser la coercition pour assurer une « discipline légale » parmi ses membres.

Dans Les Règles de la méthode sociologique, Émile Durkheim explique : « Les faits sociaux consistent en des manières d'agir, de penser et de sentir extérieures à l'individu et qui sont douées d'un pouvoir de coercition en vertu duquel ils s'imposent à lui [...] Un fait social se reconnaît au pouvoir de coercition externe qu'il exerce ou est susceptible d'exercer sur les individus[1] ».

L'usage légitime de la force de la part d'une autorité peut exister :

On parle aussi de coercition au sein des régimes totalitaires. Afin de contraindre une population d'adhérer à une idéologie, la coercition peut être imposée par la violence, la répression, la terreur, considérés alors comme des instruments légitimes.

En psychiatrie

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Notes et références

  1. « Les règles de la méthode sociologique », Émile Durkheim, Paris : PUF, 1983, page 6

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