Il obtient le Premier prix du premier festival de la chanson corse à l'Olympia de Paris, en , pour l'interprétation de la chanson de Ghjuvanni Giocanti et Vincente Orsini, Paese spentu[1].
Fils d'un cultivateur de Sorbo-Ocognano aux idées avancées[2], Antoine Ciosi raconte sa jeunesse et l'occupation italo-allemande en Corse dans son livre Une odeur de figuier sauvage-Une enfance corse[3], document sur la Corse de l'avant-guerre et de l'avant tourisme.
Chants d'une terre - 40 ans de chansons corses - Ed. DCL, 2002
Una mamma (livre-disque 4 cd), 2011, Casa Éditions, CDCASA31
A Stella di Musè Namani / L'Étoile de Moïse Namani (récit bilingue corse/français) - À Fior di carta Editions, Coll. Tarra d'accolta, 2017 ( (ISBN979-1095053217)).
↑Au milieu des années 1930, celui-ci organise dans son village un meeting politique où Jacques Duclos, leader communiste, est l'invité d'honneur, portant la contradiction au curé et au maire du village, très marqués à droite.