Cet article est une ébauche concernant un écrivain français.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » (octobre 2022). Vous pouvez améliorer la vérifiabilité en associant ces informations à des références à l'aide d'appels de notes.
Pierre Mille
Biographie
Naissance
Décès
Nationalité
Activités
Conjoint
Yvonne Serruys (à partir de )Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Autres informations
Membre de
Genre artistique
Distinctions
signature de Pierre Mille
Signature

Pierre Mille est un écrivain et journaliste français, né le à Choisy-le-Roi, mort le à Paris. Son nom reste attaché au Prix Pierre Mille du meilleur reportage, décerné par le Syndicat de la presse française d'Outre-mer et destiné à récompenser un journaliste de la presse écrite ou audiovisuelle francophone. Pierre Mille fut le mari d'Yvonne Serruys et le père de Clara Candiani, journaliste radio.

Biographie

[modifier | modifier le code]

Jeunesse et études

[modifier | modifier le code]

Fils d'Adolphe Auguste Mille, inspecteur général des Ponts et Chaussées, officier de la Légion d'honneur, et Marie-Henriette-Catherine Beaussier, il fait des études de droit. Il est diplômé de l'École libre des sciences politiques[1].

Parcours professionnel

[modifier | modifier le code]

D'abord clerc d'avoué, désireux de voyager, il est nommé en 1896 chef de cabinet du secrétaire général du gouverneur de Madagascar. Commence ensuite une longue carrière journalistique, notamment au journal Le Temps, qui fera de lui un des grands spécialistes de son temps des questions coloniales. Après avoir couvert la guerre gréco-turque de 1897, il découvre l'Afrique, l'Inde, l'Indochine, etc. Mais c'est la Tunisie à laquelle il est particulièrement attaché.

Ce journaliste spécialisé dans les questions coloniales et fut l’un des fondateurs (1923) de l’Académie des Sciences coloniales devenue (1957) l'Académie des sciences d'outre-mer, qu’il présida de 1933 à 1934. En 1926 il fut aussi un des fondateurs de l'Association des écrivains coloniaux qu'il présida entre 1933 et 1936 ; il fut encore membre du Conseil supérieur des colonies (dans un autre registre, il fut aussi membre fondateur de l'Académie des Gastronomes en 1929).

Élevé à la dignité de grand officier de la Légion d'honneur par décret du , la décoration lui fut remise par son ami le général Gouraud le . La cravate de commandeur de la Légion d'honneur lui avait remise le par J.-H. Rosny aîné. Il avait été nommé chevalier en 1900 et promu officier en 1911[2].

Œuvres

[modifier | modifier le code]

Livres

[modifier | modifier le code]

Contributions, articles et préfaces

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Qui êtes-vous?: Annuaire des contemporains; notices biographiques, C. Delagrave, (lire en ligne)
  2. Dossier de Légion d'honneur LH/1877/14 sur le site Base Leonore.

Voir aussi

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Liens externes

[modifier | modifier le code]