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Nadia Guendouz (née Aouaouche[1]) née le à Alger, morte le en la même ville, était une infirmière et poétesse algérienne de langue française, membre du FLN[2].
Nadia Guendouz rejoint le Front de libération nationale en 1954, et est chargée de collecter les fonds. En 1956 elle suit à Paris les cours d'une école d'infirmières, en obtient le diplôme en 1958 et est infirmière à l'hôpital de Bobigny, près de Paris.
En 1962, fidèle à ses idéaux nationalistes, elle rentre en Algérie et rejoint la ville de Skikda. Elle est en 1963 responsable de l'information de l'U.N.F.A. (Union des femmes algériennes). De 1966 à 1969 elle poursuit des études de sage-femme et est chargée des affaires sociales à l'Union des Écrivains algériens[3].
Ses écrits ont été publiés dans Novembre, Révolution africaine, El Moudjahid, El Moudjahid culturel, Algérie-Actualité, Promesses, El Djazair, El Djazaïria, Démocratie nouvelle, Révolution et travail, Actualité de l'émigration, Horizons.
En 2008, Jacqueline Rouillon-Dambreville, maire de Saint-Ouen en Seine-Saint-Denis, donne son nom à une rue de la ville[4]. Cette dénomination déclenche un mouvement de protestation, considérant que le FLN pouvait être considéré comme un groupe terroriste responsable de la mort de milliers de Français, d'Algériens et d'Européens[5].