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Mons
Mons (Var)
Vue aérienne de Mons.
Blason de Mons
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Fayence
Maire
Mandat
Patrick de Clarens
2020-2026
Code postal 83440
Code commune 83080
Démographie
Gentilé Monsois, Monsoises
Population
municipale
837 hab. (2021 en diminution de 1,88 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 32″ nord, 6° 42′ 54″ est
Altitude 811 m
Min. 235 m
Max. 1 714 m
Superficie 76,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Roquebrune-sur-Argens
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Mons
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Mons
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Mons
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Mons

Mons[1] [mɔ̃s] est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie

Localisation

Village perché, construit sur un énorme rocher, village fortifié, le village de Mons offre un panorama sur la mer Méditerranée, les îles de Lérins, les Maures et par temps clair, la Corse.

Géologie et relief

Le territoire, d'une superficie de 7 663 ha, s'étage du confluent de la Siagne[2] et de la Siagnole à 241 m jusqu'au plus haut sommet du Var, la montagne de Lachens, à 1 714 m. Le village est à 814 mètres d'altitude. Il se trouve à la limite supérieure de culture des oliviers sur la moindre terrasse retenue par des restanques ou faïsses.

Les gorges de la Siagnole, avec leurs moulins et leurs grottes, sont chargées d'histoire.

Voies de communications et transports

Voies routières

Commune desservie par la départementale 563 depuis Fayence.

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Transports en commun

Mons bénéficie du réseau départemental Varlib.

Lignes SNCF

La gare la plus proche de Mons se trouve à Grasse (31 km).

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Mons
La Roque-Esclapon La Bastide, Séranon Escragnolles
Seillans Mons Saint-Cézaire-sur-Siagne
Fayence Tourrettes Callian

Hydrographie

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

Sismicité

Il existe trois zones de sismicité dans le Var :

La commune de Mons est en zone sismique de très faible risque Ia[5].

Climat

Pour des articles plus généraux, voir Climat de Provence-Alpes-Côte d'Azur et Climat du Var.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 077 mm, avec 6,3 jours de précipitations en janvier et 3,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Cézaire sur Siagne », sur la commune de Saint-Cézaire-sur-Siagne à 8 km à vol d'oiseau[8], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 970,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −8,1 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme

Typologie

Mons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7 %), cultures permanentes (2,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), zones urbanisées (1,5 %), prairies (0,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Mons s'écrit Mouns en provençal selon la norme mistralienne[19] et Mons selon la norme classique. La prononciation locale est /muŋs/.

Histoire

Préhistoire

Les hommes sont présents à Mons depuis la Préhistoire, comme en témoignent de nombreux dolmens ou autres formes de tombes. La première implantation connue s'appelait Avaye[20].

Antiquité

Vers le milieu du Ier siècle apr. J.-C., les Romains construisent un aqueduc de 41 567 m qui permet de conduire l'eau des sources de la Siagnole[21] à Fréjus. Il est toujours en fonction dans son trajet sur la commune de Mons[22].

Moyen Âge

La première mention de Mons se trouve dans le cartulaire de Lerins, qui mentionne un « Fulco de Mons » (1026-1066) qui paye l'albergue et la cavalcade (1249-1252)[23]

La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l'Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou[27]. Le seigneur de Mons, Francisque de Bollière, soutient le duc d’Anjou dès le printemps 1382, ce soutien étant conditionné à la participation du duc à l’expédition de secours à la reine[28].

Le Figoun et les Figouns

Les Figouns[29] de Mons furent accueillis (contre franchises à payer en retour) en deux périodes : 1260 et 1468. Ils provenaient principalement de la région de Vintimille (vallée de la Nervia, de Pigna). En bons maçons, ils participèrent largement à l'édification de la ville et de ses remparts. C'est à leur époque que l'olivier fut introduit dans la région. Ils sont souvent liés à la culture, au commerce et à la préparation des figues (frigoule ou frigoure), d'où leur appellation.

Le figoun est un mélange non structuré de ligure et de provençal, comme on en retrouve à Escragnolles ou Biot. Les patronymes Bosio, Brosco, Bruzon, Canille, Chappory, Chiappe, Chichon, Durante, Galliano, Machiavello, Massa, Monteverde, Olivero, Parody, Passano, Pisarello, Poggio, Porro, Restano, Risso, Sanguinetti, Traverso, y sont très répandus. Certains Monsois se servent encore du figoun quand ils ne veulent pas être compris par les « estrangers » !

L'abbé Jean-Pierre Papon[30] (1780) rapporte un des premiers témoignages de ce dialecte : « On croit que c'est l'idiome des Sarrasins : on se trompe, c'est l'ancien oasis de Gênes ». Il fut utilisé jusqu'à la fin du XIXe et a laissé très peu de traces écrites.

i m'an pillàou
Grigeur Guignon, a lagna,
Ou dije che l'avea de lou ben à la campagna.
I m'an pillaou ca' mea;
I nous m'an lascaon pa un choun.
Mi foun entra misero;
Sa posso me sacatero
La ca, lou ben & la terro
Grigneur guignon, est triste
il dit qu'il avait des biens à la Campagne:
"on m' a pris ma maison
on n'y a pas laissé un clou,
Je suis dans la misère,
si je puis, je rachèterai le bien,
et la maison et la Terre."
ou dije

En 2007, dans les archives du château de Beauregard, on retrouve une dizaine des feuillets manuscrits anciens, mais impossibles à dater, portant traduction de ce qui semble être des termes de figoun et identifiés par Fiorenzo Toso[31] comme ayant des similitudes avec un patois ancien de la région Nord de Gênes (XVIIe).

Renaissance

Période moderne

Période contemporaine

La réputation de travailleurs de ses habitants leur avait valu en 1835 le surnom de Chinois de la Provence[34]. En 1970, la création du camp de Canjuers ampute la cité de Mons des territoires de Saint-Marcellin (le blé de Saint-Marcellin était renommé), du Villars et d'une partie des monts du Malay.

Résistance

Politique et administration

Budget et fiscalité 2016

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[38] :

Avec les taux de fiscalité suivants :

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 240 [39].

Liste des maires

Article détaillé : Liste des maires de Mons (Var).
Liste des maires depuis 1953
Période Identité Étiquette Qualité
1953 1971 Alexandre Valente SFIO Instituteur, syndicaliste
1971 1977 Ernest Audibert    
1977 1983 Alexandre Valente PS Instituteur, syndicaliste
1983 2001 Alfred Rolland    
2001 2008 Roger Pelassy    
2008 2020 Eliane Feraud DVG Retraitée de la Fonction publique
2020 En cours Patrick De Clarens [40]    

Démographie

Les habitants de Mons se nomment les Moussencs.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

En 2021, la commune comptait 837 habitants[Note 3], en diminution de 1,88 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1201 0211 0411 0781 1081 0991 0741 0271 029
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0009731 0031 0051 000889866852764
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
773703731568523452423361298
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
248226239291459671840863866
2017 2021 - - - - - - -
817837-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Curés de Mons

  • 1673-1705 : Anglési Laugier
  • 1705-1713 : Jordany
  • 1705-1707 : Rossel
  • 1710-1713 : Jourdan
  • 1713-1736 : Raynaud
  • 1728-1734 : Pélassy
  • 1746-1782 : Jordany
  • 1750-1755 : Pélissier
  • 1782-1825 : Pélacy
  • 1838-1846 : Rebuffel François
  • 1868-1881 : Jean Rebuffel
  • 1884-1891 : Martel[45]
  • 2015 - Aujourd’hui : Dom Martin Bonnassieux

Jumelages, parrainages

Patrimoine bâti

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. J. P. Brun, Carte archéologique de la Gaule, Le Var 83/2, Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris, 1999, p. 518-523.

Préhistoire

Néolithique, Chalcolithique : Castrum, Dolmens, Habitats fortifiés, Tumulus, Tombes en Bloc, Grottes sépulcrales.

Les habitats fortifiés

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Dolmens (Chalcolithique) et autre tombes collectives

Article détaillé : Liste de dolmens du Var.

Toujours ouvertes vers le couchant, parfois à double chambre (cella), la première pour les dépouilles récentes, la seconde pour les 'réductions'. Les deux sont précédées d'une antichambre. Le nombre des dents retrouvées sur place permet d'évaluer le nombre de sépultures.

L'âge Celbano

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Mons fait partie de cette circonscription dépendant de l'abbaye Saint-Victor de Marseille.

Aqueduc romain de Mons à Fréjus

Article détaillé : Aqueduc de Mons à Fréjus.
Des sources vauclusiennes du Neissoun et sa partie initiale
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À Fréjus dans le domaine de San-Peyre
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Transition vers le Moyen Âge

les Castrum

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Post-médiéval

Architecture religieuse

Châteaux

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Il existe en rive droite de la Siagne, entre la Siagne de la Pare et le Miron, en face du bois des Malines, un lieu-dit Château de l'Enfer où on retrouve quelques pierres perchées en haut d'un piton rocheux. On ne dispose cependant d'aucune information à son sujet.

Infrastructures

Aqueduc de Riens ou de Saint-Pierre (XVIe)
Aqueduc des Ferrages (XVIe)
Aqueduc de Beauregard (XVIe)
Petit aqueduc du château de la Lubi (XVIe)

Passé récent

Infrastructures

Sources, fontaines et lavoirs
les ponts
La pierre sèche

La pierre extraite du champ est employée à sec (sans mortier) dans l'habitat temporaire (cabanes, cabanons, bergeries) et dans divers ouvrages (enclos, restanques, apiés, puits couverts, affûts, séchoirs à figues, fours à chaux)[73],[74].

Cabanes, cabanons, bergeries
Puits couverts
Restanques, fours à chaux, graïssiers, etc.
Les tours-pigeonnier
Moulins, usines et barrages

Époque moderne

La conduite moderne de doublement de l'aqueduc romain dite canal Jourdan (1894)

Patrimoine naturel

Grottes et Canyons

Grottes, avens, réseaux, avens failles, résurgences (près de 150)

Ajustadous, Canebières, Combrière[76], Esclapon, Peintures, Pestiférés, Peygros, Tranchée...

C'est dans la grotte des Mouches, sur le Fil[82], que s'étaient réfugiés les déserteurs de la guerre de 1914-1918.

Pertes et résurgences

Elles sont trop nombreuses pour être toutes énumérées :

Faune, Flore, Chasse, Pêche, Protection de la Nature, Natura 2000

La démarche Natura 2000

Ainsi, l’Union Européenne a été amenée à adopter deux directives : l’une en concerne les oiseaux, l’autre en concerne certains habitats naturels, pour donner aux États membres un cadre commun d’intervention en faveur de la préservation des milieux naturels et des espèces.

Le site FR 93 01574-2005 "Gorges de Siagne"

S’étend des sources du fleuve à Escragnolles à Auribeau-sur-Siagne sur une superficie d’environ 5 300 ha. Au titre de la directive européenne 92/43/C.E.E. dite « Habitats », ce site a été retenu notamment en raison de son complexe de gorges parfois très profondes constituant une zone d’accueil pour de nombreuses espèces. La combinaison de facteurs climatiques et géologiques a permis à la Haute Siagne de conserver son caractère sauvage. Située à un carrefour associant climats montagnard et méditerranéen et substrats calcaire et cristallin, elle se caractérise par une grande diversité biologique pour la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

On distingue six grands types de milieux naturels sur le territoire de la Haute Siagne :

Ce site abrite 23 habitats d’intérêt communautaire dont 7 d’intérêt prioritaire avec plus de 80 espèces de la faune protégées (hors oiseaux), une cinquantaine d’oiseaux protégés et 24 espèces végétales protégées.

Le S.I.I.V.U. "Syndicat Interdépartemental, Intercommunal à Vocation Unique" de la Haute Siagne[84] a été désigné successivement opérateur du site pour élaborer et faire valider le DOCOB, puis animateur pour la gestion du site tant de l’hydrosystème que des milieux terrestres. Il a des comptes à rendre à l’État quant au travail effectué et aux résultats obtenus.

Les restanques ou faïsses

Restanques des "Ferrages" en hiver

L'olivier

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Le chêne

Quant au plus gros chêne vert de Mons, il se trouve aux Hauts-Campestres.

Les figues

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Le chanvre cultivé à Mons

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Les fleurs à parfum

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Truffes (rabasses)

Attention : brûlé ne signifie pas nécessairement truffière, et il existe des truffières sans brûlé. Ce brulé résulterait d'une action antimitotique et 'coumarine-like' du mycélium, mobilisant les ions K et Ca++. Par ailleurs les murs en pierre sèche, en réverbérant le soleil ont une action adjuvante par leur effet de 'four solaire'. Petit détail : les lapins adorent les truffes !

Prix moyen du kg de truffes cueillies sur le plateau de Canjuers et vendues sur le marché de Carpentras
1955 1956 1957 1958 1959 1960 1961 1962 1963
30 F 30 F 50 F 32 F 40 F 50 F 110 F 200 F 100 F
Prix moyen du kg de truffes cueillies sur le plateau de Canjuers et vendues sur le marché de Riez
1955 1956 1957 1958 1959 1960 1961 1962 1963
28 F 23 F 63 F 40 F 45 F 50 F 80 F 150 F 110 F

Autres

Patrimoine intellectuel et humain

Musées

Traditions

Héraldique

Les armoiries de Mons se blasonnent ainsi[91] :

De gueules au mouton contourné d'argent grimpant sur un rocher du même semé de touffes d'herbe de sinople au chef cousu d'azur chargé de trois étoiles d'or.

Personnalités liées à la commune

Il est impossible de citer tous les membres illustres de la famille de Villeneuve[92],[93],[94],[95],[96], une des plus grandes de France, comptant près de 1 400 membres authentifiés, regroupés en « branches » avant 1900, avec des descendants survivant de nos jours (Ampus, Arcs, Bargemon, Barrême, Bouliers, Beauregard, La Berlière, Bourgogne, Callian, Cananilles, Carros, Clemensane, Clumanc, Esclapon, Espinouse, Flayosc, Granges, Grasse, Gréolières, Hollande, Lascaris, Mons, Montignan, Monvoisin, Oppio, Ramatuelle, Revest, Roque, Russie, Saint-Cézaire, Séranon, Source, Tartonne, Trans, Thorenc, Tourrettes-lès-Fayence, Tourrettes-lès-Vence, Vauclause, Villevieille), et qui a fourni au cours des siècles : ceux de Mons avaient pour fiefs : Avaye, Beauregard, Cananilles, Esclapon, Gaut(d), Pibresson, Saint-Jean, Saint-Marcellin, Saint-Pierre, Tansonive...

Les Villeneuve sont surtout sur Trans, et dans la région sur Tourrettes. Mons n'a que la branche des Villeneuve de Beauregard et la branche des Villeneuve de Mons et du Gaut.

Autres personnalités liées à la commune :

Depuis quelques années, les résidents occasionnels du domaine de la Gray, de multiples nationalités, aux activités professionnelles évoluées, médecins, professeurs, pilotes, se sont passionnés pour Mons, au point de participer à la vie touristique du village.

Curiosités

Notes et références

Notes

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. Historique sur le site officiel de la commune de Mons
  2. Réseau Natura 2000 « Rivière Siagne et ses gorges», Site FR 9301574
  3. L'eau dans la commune
  4. Le Chautard
  5. Sismicité du Var sur le site de la préfecture.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Mons et Saint-Cézaire-sur-Siagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « St Cézaire sur Siagne », sur la commune de Saint-Cézaire-sur-Siagne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « St Cézaire sur Siagne », sur la commune de Saint-Cézaire-sur-Siagne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. Louis J S. de Bresc, Armorial des communes de Provence, ou Dictionnaire géographique et héraldique, Paris, Librairie Bachelin-Deflorenne, , 370 p., p. 191.
  20. Dolmens et tumulus
  21. Étienne M. : Les sources de la Siagnole de Mons, Thèse Doct. 3e cycle, 1987, Univ. Sc. et Tech. du Languedoc, Montpellier
  22. Mons : Aqueduc romain de Mons à Fréjus : itinéraire et longueur totale
  23. M. Borréani, Fiche descriptive no 1003, Centre archéologique du Var, Toulon, 2007.
  24. Tremblements de terre en Provence : l’exemple du faux séisme de 1227 en Provence, répertorié dans le catalogue de Rothé (1941)
  25. Histoire et aléa sismique : exemple des faux séismes de 1227 et 1248
  26. BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières), Département Gestion des données Géologiques et Géophysiques. Sources : Risque et Génie Sismique (fichier Sirene) et LDG-CEA (catalogue microsismicité). Édition : LAMBERT (Jérôme), Directeur, Les tremblements de terre en France, Hier, Aujourd’hui, Demain... Éditions BRGM 1997
  27. Moyen Âge, Archives départementales du Var
  28. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 409 et 410 (note 42).
  29. F. Toso F., Da Monaco a Gibralterra : storia, lingua e cultura di villagi e citta-satto génovesi verso occidente, Toso, Le Mani Ed., Genova, 2004, (ISBN 88-8012-282-7).
  30. J.-P. Papon (Abbé), Voyage littéraire en Provence, Lib. Barrois, Paris, 1780, p. 231-232.
  31. Toso, Fiorenzo : Da Monaco a Gibralterra : storia e culture da villagi et città-statto genovesi verso occidente, Le Mani Ed., Genova, 2004, (ISBN 88-8012-282-7) (OCLC 432933722).
  32. M. Germain M., Le siège de Mouns, Parpaillon Éd., Gonfaron, 2000, (ISBN 2-912938-13-9).
  33. Le séisme de 1644
  34. Garcin E.: Dictionnaire historique et topographique de la Provence, chez l'auteur, Draguignan, 1835
  35. février-mars 1944 : Le maquis AS de Mons devient le maquis Vallier avec l’arrivée à sa tête de Gleb Sivirine.
  36. Francs Tireurs et Partisans Français de l’Est Varois…
  37. Mémoire orale, témoignage de Jean-Paul Lambert, le 21 juin 2011, Résistant pour les parachutages SSAP R2) et la vie au maquis de Mons
  38. Les comptes de la commune
  39. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  40. https://www.lemonde.fr/resultats-elections/mons-83080/
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. Valente A.: Pour la petite histoire du haut-Var, Mons vous raconte la sienne, Imp. Nouvelle, Saint-Raphaël, 1964
  46. Mons est la ville marraine du Remorqueur Côtier A696 «Buffle», de la Marine nationale
  47. Le Buffle
  48. Parrainage du Buffle
  49. Dolmen de la Colle
  50. Dolmen de Peygros
  51. Dolmen de Saint Marcellin
  52. à l'approche d'un regard (puteus luminae)
  53. « bourg castral d'Avaye », notice no IA83001183, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. Castrum d'Avaye, Lieu-dit Collet de Caillan
  55. « Église paroissiale Saint-Pierre et Saint-Paul », notice no PA00081791, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. Saint-Pierre et Saint-Paul
  57. Inventaire des campaniles en France
  58. Notice no PM83000376, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1535 connue sous le nom de Musane
  59. Notice no PM83000375, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1501 connue sous le nom de Marie Anne Sauveterre
  60. Notice no PM83000374, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1488 connue sous le nom de Vénus
  61. Mobilier de l'église paroissiale Saint-Pierre et Saint-Paul
  62. Conseil Départemental du Var, « Patrimoine religieux », Le Var No 4,‎ hiver 2017-2018, p. 75.
  63. Chapelle Saint-Sébastien, qui abrita la confrérie des Pénitents Blancs
  64. Chapelle Saint-Marcellin, restaurée par le 1er R.C.A.
  65. Sur le pilier droit du porche on peut lire l'inscription suivante, gravée dans la pierre En l'honneur de Notre dame de Pitié 1644
  66. Chapelle St-Roch
  67. Chapelle Saint roch ou / et saint laurent
  68. Monument aux morts de Mons, sur le site mémoires de guerre du Var
  69. Monument aux morts
  70. Mémorial : monument aux morts
  71. Les monuments aux morts du Var : Mons
  72. La Fontaine Dei pu luenchco fouan
  73. Michel Royon, Numérisation des données actuelles de l'inventaire départemental en cours des ouvrages traditionnels en pierre sèche de la campagne varoise, réalisé par les membres de l'A.S.P.P.S.V. (Association pour la Sauvegarde du Patrimoine en Pierre Sèche du Var), Bull. A.S.P.P.S.V., Draguignan, 2004 (6), p. 10-19.
  74. Pierre Sèche.
  75. Créac'h Y.: Inventaire Spéléologique des Alpes Maritimes, Tome IV, chez l'auteur, Nice 1987)
  76. Grotte des Combrières
  77. Grotte des Combrières (Grotte de Mons)
  78. Grotte aux peintures (Grotte Pouveroï)
  79. Grotte des Pestiférés (Baume des échelles)
  80. Grotte d'Esclapon (Du Château d'Esclapon)
  81. Itinéraires archéologiques : Mons
  82. Fichier des cavités du Var
  83. Quertier P., et al.: Guide du naturaliste dans le Var. Libris ed., Patris, 2002, (ISBN 2-907781-58-8).
  84. Les actions du Syndicat Interdépartemental, Intercommunal à Vocation Unique de la Haute Siagne
  85. Aubert C., La politique d'installation des camps militaires : le cas particulier du polygone de tir de Canjuers, Université de Nice-Toulon, faculté de Droit (mémoire de D.E.S. d'administration des collectivités locales), 1984.)
  86. archive
  87. Anonyme : Loup, Élevage :Actes du séminaire technique du 15-16 juin 2006 Aix-en-Provence, Cerpam Ed., Manosque, 2007.
  88. voir : Le loup à Canjuers
  89. Les chiroptères, très nombreux du fait de l'abondance des grottes, des clochers, mais aussi de l'aqueduc romain, font l'objet d'une protection négociée avec Natura 2000 : certaines grottes particulièrement actives en période de reproduction (mois de mai) sont dorénavant interdites d'accès aux spéléologues.
  90. Un Musée à ciel ouvert
  91. Pays de Fayence : Mons, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  92. Juigné de Lassigny E.M. (Le clerc de) Histoire de la maison de Villeneuve en Provence, Lyon, Rey A., Ed., 1901-1902
  93. Régis Valette : Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, 2007
  94. Séréville E., et coll.: Dictionnaire de la noblesse française, 1975
  95. Guerre N.: Noblesse 2001, , 2001
  96. Vaulchier J. (de): Armorial de l'Association d'entraide de la noblesse française, 2004.

Voir aussi

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Bibliographie

Histoire et architecture

Archéologie

Patrimoine naturel, faune et flore

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Articles connexes

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