Nom de naissance | Julia Clara Catharine Maria Dolores Norton Birk Robbins |
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Alias |
D. B. Olsen, Noel Burke, Dolan Birkley |
Naissance |
[1] El Paso, Texas, États-Unis |
Décès |
Placentia, Californie |
Activité principale |
Langue d’écriture | Anglais américain |
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Genres |
Œuvres principales
Dolores Hitchens, née Julia Clara Catharine Maria Dolores Birk Robbins le à El Paso, au Texas, et morte le à Placentia, Californie[2], est un écrivain américain de thriller, aussi connu pour ses romans policiers publiés sous le pseudonyme de D. B. Olsen. Elle a écrit quelques-uns de ses romans en collaboration avec son deuxième mari, Bert Hitchens.
Née au Texas, Dolores Birk Robbins publie des poèmes pendant qu'elle complète ses études supérieures à l'Université de Californie, puis s'inscrit dans une école d'infirmière. Elle travaille ensuite au Hollywood Hospital, puis devient enseignante. Peu après, elle épouse le marin Olsen et entreprend d'écrire des romans policiers qu'elle signe D. B. Olsen. Elle crée alors deux séries distinctes. La première, celle des sœurs Jennifer et Rachel Murdock et de leur chatte Samantha, comptent une douzaine de titres où l'humour fait bon ménage avec le sens de la fine déduction. Apparaît à l'occasion dans les aventures des Murdock, le lieutenant de police Stephen Mayhew, aussi le héros central de trois romans. La deuxième série a pour enquêteur le professeur Pennyfeather, détective amateur.
Après son divorce, Dolores Birk Robbins se remarie avec Hubert Allen Hitchens, dit Bert Hitchens, de la police des chemins de fer, et dès 1951, amorce l'écriture de thrillers, dont plusieurs, inspirés par l'expérience de son mari, se déroulent dans le milieu ferroviaire. Ce dernier signe d'ailleurs conjointement avec Dolores Hitchens cinq de ces romans de suspense qui incorporent des éléments de procédure policière.
Dolores Hitchens emploie à quelques reprises les pseudonymes de Noël Burke et de Dolan Birkley pour publier des récits appartenant à d'autres genres populaires : roman d'amour, roman western.
Le réalisateur français Jean-Luc Godard s'est très librement inspiré de Le Pigeon vole (Fools' Gold) pour son film Bande à part (1964).