Avril/mai[2] : Caracalla arrive à Antioche où il établit son quartier général. Il envoie son affranchi Théocrite à la tête d'une armée pour envahir l'Arménie, mais il est battu[3].
Caracalla introduit l’usage d’une nouvelle monnaie d’argent, l’argentueus Aurelianus Antonianus[6]. Le poids de l’aureus est réduit à un cinquantième de livre[7]. Le cuivre disparaît progressivement, et au milieu du IIIe siècle, au paroxysme de la crise, l’Antonianus restera la seule monnaie officielle.
↑Catherine Virlouvet (dir.) et Claire Sotinel, Rome, la fin d'un empire : De Caracalla à Théodoric 212 apr. J.-C - fin du Ve siècle, Paris, Éditions Belin, coll. « Mondes anciens », , 687 p. (ISBN978-2-7011-6497-7, présentation en ligne), chap. 1 (« Un pouvoir impérial en quête de continuité (212-249) »), p. 21.